Nous nous sommes tous sentis touchés par les attaques qui ont eu lieu à Paris. Les nombreuses manifestations de soutien aux victimes et à leurs familles témoignent du lien profond qui unit la francophonie.
Durant les jours qui ont suivi, on a beaucoup entendu parler dans les médias « d’état de sidération » ou « de choc » pour décrire l’atmosphère de deuil national qui régnait dans le pays.
Ces termes font bien sûr référence à la première des 5 étapes de deuil décrites en 1969 par la psychiatre en soins palliatifs, Elisabeth Kübler-Ross : « la phase de sidération ».
Les étapes du deuil : le choc et la sidération
En effet, durant les premiers temps de la perte, on constate très souvent une période particulière, caractérisée par un ralentissement de l’activité physique et cérébrale. Ce mécanisme d’anesthésie générale est la réponse que trouve le corps pour résister à la violence du choc d’un grave accident de vie. Pour beaucoup, ce réflexe naturel permet de survivre à la douleur ou aux obligations du quotidien qui surgissent durant les premiers instants du deuil.
Nous avons décidé dans cette vidéo de revenir sur cette « période de flottement » qui caractérise ces premiers temps de la perte. Mais surtout, nous aborderons les modalités du déclenchement du processus de deuil ainsi que les « blocages » éventuels qui peuvent survenir au cours de cette première étape du deuil.
Qu’est ce qui peut bloquer le processus de deuil ?
Avec l’aide d’Isabelle Carmoin, psychologue en réseau de soins palliatifs, nous vous proposons de partager quelques réflexions sur la manière dont s’enclenche le processus de deuil ainsi que sur cette phase des étapes du deuil dite de « sidération » durant laquelle on peut se sentir comme bloqué.
Dans cette courte vidéo, nous tenterons également de répondre à de nombreuses questions que l’on se pose sur le deuil comme « Qu’est-ce qui peut bloquer ou retarder le processus de deuil ? » ou encore « Est-il possible d’être en deuil d’une personne avec qui nous n’avons pas de lien de parenté ? ».
Pour en savoir plus sur les étapes du deuil, vous pouvez aussi relire notre dossier sur les « étapes du deuil ».
Si cet article vous à aidé à mettre des mots sur votre vécu, participez à sensibiliser et libérer la parole autour du deuil en le partageant avec vos proches ou sur les réseaux sociaux.
aujourd’hui cela fait 9mois que j’ai ma fille de 20ans qui nous a quitter d’une rupture anevrisme
je garde tous en moi et console encore les autre et ses soeur des foi oui j’arrive a pleurer mes je garde en moi toute cette colere on n’avais aucun drois de me prendre ma fille mnt tous ce qui est dieux religion et autre j’en ai plus rien a sirer
Bonjour
J ai perdu une fille de 24 ans il y a sept ans tumeur au cerveau et après ma femme il y a cinq ans j en ai voulu à la terre entiére pourquoi moi déjà avec tous les problèmes que nous avons eu beaucoup de mal à faire son deuil on ne peut pas rayer vingt huit Année de mariage j ai encorE dE grossesse crise de caFard les psy cela aide sur le moment mais après quand vs sortez de chez lui vous devez faire face pas facile
et pour refAire SA vie je vs en parle pas enfin on vit au jour le jour
Bonjour, j’ai aussi perdu mon père suite à une rupture d’anévrisme il y a 9 mois (6 mars 2015) aussi. Je ne le réalise pas encore…c’est une belle mort pour la personne qui décède mais pour ceux qui restent….sans avertir…c’est extrêmement difficile à réaliser et à accepter. bonne courage à vous
J’oubliais même une chose très importante : s’il y a une vie après la mort (et j’y crois au vu de nombreux témoignages d’expériences de mort imminente), l’amour continue après également. Je rejoindrai un jour ceux qui ont disparu avant moi et nous serons réunis pour l’éternité.