Les belles chansons après le décès d’un proche

Nous vous proposons une sélection apaisante de nos meilleurs articles sur les chansons et musiques parlant de la mort d’un être cher et du vécu de deuil.

Chanson sur la mort

Découvrir les plus belles chansons françaises
sur la mort et le deuil d’un être cher (cliquez ici).

Prochains articles à venir. En attendant, vous pouvez participer et nous dire dans les commentaires : quelles sont les chansons ou musiques qui auraient à vos yeux, leur place ici.

Quelques textes  issus de la participation des membres de la communauté des Mots du deuil.

Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c’était pour de vrai
Tout ce qu’on s’est dit, tout ce qu’on a fait

Que c’était pas pour de faux, que c’était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si çà fait mal, c’est gagné

Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y’a vraiment pas de quoi s’en priver
Et tout ce qu’on a pas loupé, le valait bien
Peut-être on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu’ici bas, je suis là
Ca restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s’éteint pas.

Confidentiel de Jean-Jacques Goldman

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Je suis venu te dire que je m’en vais
Et tes larmes n’y pourront rien changer
Comm’ dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m’en vais
Tu t’souviens de jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blmis prsent qu’a sonn l’heure
Des adieux jamais
Ouais je suis au regret
D’te dire que je m’en vais
Oui je t’aimais, oui mais
Je suis venu te dire que je m’en vais
Tes sanglots longs n’y pourront rien changer
Comm’dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire ue je m’en vais
Tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
Tu sanglotes, tu gmis prsent qu’a sonn l’heure
Ouais je suis au regret
D’te dire que je m’en vais
Car tu m’en as trop fait.
Je suis venu te dire que je m’en vais
Et tes larmes n’y pourront rien changer
Comm’ dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire que je m’en vais
Tu t’souviens de jours anciens et tu pleures
Tu suffoques, tu blmis prsent qu’a sonn l’heure
Des adieux jamais
Ouais je suis au regret
D’te dire que je m’en vais
Oui je t’aimais, oui mais
Je suis venu te dire que je m’en vais
Tes sanglots longs n’y pourront rien changer
Comm’dit si bien Verlaine au vent mauvais
Je suis venu te dire ue je m’en vais
Tu t’souviens des jours heureux et tu pleures
Tu sanglotes, tu gmis prsent qu’a sonn l’heure
Ouais je suis au regret
D’te dire que je m’en vais
Car tu m’en as trop fait.

Je suis venu te dire  Gainsbourg

[divider] « C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte.
C’est ceux qu’on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l’amour qu’on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.
Pour certains on le savait, on s’était préparé au pire, mais d’autres ont disparu d’un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore.
Alors on s’est regroupé d’un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste.
C’est seul qu’on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. Nos absents sont toujours là, à l’esprit et dans nos souvenirs. Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires.
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés, ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n’était.
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous.
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur.
Nous on a des projets, on dessine nos lendemains. On décide du chemin, on regarde l’avenir entre nos mains. Et au coeur de l’action, dans nos victoires ou nos enfers, on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire.
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant. J’me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant. Faut apprendre à l’accepter pour essayer de vieillir heureux, mais chaque année nos absents sont un peu plus nombreux.
Chaque nouvelle disparition transforme nos coeurs en dentelle, mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastelles. Ce temps qui pour une fois est un véritable allié. Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers.
Moi les morts, les disparus, je n’en parle pas beaucoup. Alors j’écris sur eux, je titille les sujets tabous. Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous. Qui fait qu’on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousse.
C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créait un vide presque infini, qu’inspirent des textes premier degré. Faut dire que la mort manque d’ironie. »

Grand Corps Malade, « Nos Absents »

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« J’ai voulu dormir, et j’ai fermé les yeux
sans même voir que le ciel, été bleu
Je me suis réveillé, sous un nouveau soleil
Et depuis ce jour là, rien n’est pareil…

Lumière des projecteurs, qui réchauffent mon coeur
Tout au fond de moi, je n’ai plus jamais peur…

J’ai trouvé le sens de la raison qui m’entraîne
A chaque pas sur le devant de la scène
J’ai trouvé le sens, de la vie, que je mène
Et je l’aime…

Tal

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Calm down
Deep breaths
And get yourself dressed instead
Of running around
And pulling on your threads
And breaking yourself up

If it’s a broken part, replace it
If it’s a broken arm, then brace it
If it’s a broken heart, then face it

And hold your own
Know your name
And go your own way
Hold your own
Know your name
And go your own way

And everything will be fine

Hang on
Help is on the way
And stay strong
I’m doing everything

Hold your own
Know your name
And go your own way
Hold your own
Know your name
And go your own way

And everything, everything will be fine
Everything

Are the details in the fabric
Are the things that make you panic
Are your thoughts results of static cling?

Are the things that make you blow
Hell, no reason, go on and scream
If you’re shocked it’s just the fault
Of faulty manufacturing.

Everything will be fine
Everything in no time at all
Everything

Hold your own
And know your name
And go your own way

Are the details in the fabric (Hold your own, know your name)
Are the things that make you panic
Are your thoughts results of static cling? (Go your own way)

Are the details in the fabric (Hold your own, know your name)
Are the things that make you panic (Go your own way)
Is it Mother Nature’s sewing machine?

Are the things that make you blow (Hold your own, know your name)
Hell no reason go on and scream
If you’re shocked it’s just the fault (Go your own way)
Of faulty manufacturing

Everything will be fine
Everything in no time at all
Hearts will hold

Même dans le ciel qui se voile
Il y a toujours une étoile
qui scintille et nous guide sur le chemin de nos rêves
Et quand on y croit
Un nouveau jour se lève… »

« Details In The Fabric / Jason Mraz »

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Monsieur Eric Clapton « Tears in heaven »    http://www.youtube.com/watch?v=AscPOozwYA8

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