La musique bouleverse et transporte bien au delà des mots et n’exige pas d’être comprise, elle demande juste à être accueillie.
Lorsque les paroles viennent à manquer, lorsque les mots sont étouffés par la peine, la musique devient une voie royale pour pallier à l’indicible et vivre pleinement ses émotions.
On vous propose une sélection des plus belles chansons françaises qui parlent de la mort et du deuil d’un proche. En espérant qu’elles puissent être la source d’un peu de réconfort.
> Retrouvez également les plus belles citations sur la mort et le deuil.
Et vous, quelles sont les chansons qui vous rappellent l’être aimé ?
Participez dans les commentaires, nous ajouterons vos contributions.
Grégoire – Chanson pour un enterrement
Je ne crois pas que tu meurs
Je ne crois pas que je pleure
Non je n’y crois pas
Je n’crois pas que tu t’en vas dans ce cercueil seule et froid
Non je n’y crois pas
Car je crois que tu es là
Que tu marches auprès de moi
Oui ça j’y crois
Et je crois bien que tu restes
A côté dans l’autre pièce
Oui ça j’y crois
Je ne crois pas à l’enfer
De te voir là sur la Terre
Non je n’y crois pas
Je ne crois pas au silence
A la peur ou à l’absence
Non je n’y crois pas
Mais je crois que tu es là
Dans mon coeur au fond de moi
Oui ça j’y crois
Et je crois que tu me sers
Comme tu me serrais hier
Oui ça j’y crois
Oui je crois que tu m’embrasses
Que personne ne te remplace
Oh oui ça j’y crois
Et j’y croirai pour toujours
Tant qu’il reste de l’amour
Oui crois-moi
Je ne crois pas à la mort
De l’esprit même si le corps lui un jour s’en va
Car je crois bien que tu restes
A côté dans l’autre pièce
Oui ça j’y crois
Et j’y croirai pour toujours
Car ça ne meurt jamais l’amour
Oui crois-moi
Oui j’y croirai pour toujours
Car ça ne meurt jamais l’amour
Et moi ça j’y crois
Oui j’y croirai pour toujours
Car il ne meurt pas l’amour que j’ai pour toi
Partir avant les miens – Daniel Balavoine (1983)
Petite foule dense
Autour d’un corps s’endormant
Douceur immense
Pour le départ d’un parent
Calmement
Peint aux couleurs de l’artifice
Des bleus lisses et roses et blancs
Et lentement
Visages tendres sur l’herbe glissent
Se sourient en chuchotant
Et sans le moindre tourment
Ils fêtent mon enterrement
Cendres folles et s’envolent
Sous les yeux pâles et contents
Et s’unissent aux lucioles
Pour vivre un dernier instant
Et à jamais
Restent en suspens
Et j’ai souvent souhaité
Partir avant les miens
Pour ne pas hériter
De leur flamme qui s’éteint
Et m’en aller
En gardant le sentiment
Qu’ils vivront éternellement
Et simplement
Qu’ils fassent que la nuit soit claire
Comme aux feux de la Saint-Jean
Que leurs yeux soient grands ouverts
Pour fêter mon enterrement
Père et mère, sœurs et frères
Je vous aime puissamment
N’adresser aucune prière
Où que j’aille je vous attends
La poussière
Vit hors du temps
Il faut rester à la lumière
Dansez, buvez en me berçant
Que je vous aime en m’endormant
Evidemment – France Gall (1987)
Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout
Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu’on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout
Evidemment
Evidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu’on aimait tant
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Et ces batailles dont on se fout
C’est comme une fatigue, un dégoût
A quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n’change rien, qui change tout
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Pas comme avant
Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout
Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu’on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout
Evidemment
Evidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu’on aimait tant
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Et ces batailles dont on se fout
C’est comme une fatigue, un dégoût
A quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n’change rien, qui change tout
Evidemment
Evidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Pas comme avant
Vole – Céline Dion (1995)
Vole vole petite aile
Ma douce, mon hirondelle
Va t’en loin, va t’en sereine
Qu’ici rien ne te retienne
Rejoins le ciel et l’éther
Laisse-nous laisse la terre
Quitte manteau de misère
Change d’univers
Vole vole petite soeur
Vole mon ange, ma douleur
Quitte ton corps et nous laisse
Qu’enfin ta souffrance cesse
Va rejoindre l’autre rive
Celle des fleurs et des rires
Celle que tu voulais tant
Ta vie d’enfant
Vole vole mon amour
Puisque le nôtre est trop lourd
Puisque rien ne te soulage
Vole à ton dernier voyage
Lâche tes heures épuisées
Vole, tu l’as pas volé
Deviens souffle, sois colombe
Pour t’envoler
Vole, vole petite flamme
Vole mon ange, mon âme
Quitte ta peau de misère
Va retrouver la lumière
Putain de camion – Renaud (1988)
Putain c’est trop con
Ce putain d’ camion
Mais qu’est-ce qu’y foutait là
Putain de vie d’ merde
T’as roulé dans l’herbe
Et nous, tu nous plantes là
J’espère au moins qu’ là-haut
Y a beaucoup moins d’ salauds
Tu nous laisses avec les chiens
Avec les méchants les crétins
Sous un soleil qui brille moins fort et moins loin
J’ voudrais m’ blottir dans un coin
Avec Marius avec Romain
Pleurer avec eux jusqu’à la saint-glinglin
Putain j’ai la rage
Contre ce virage
Et contre ce jour-là
Où tu t’es vautré
Dire qu’ c’était l’été
Dans ma tête y fait froid
J’espère au moins qu’ là-haut
T’as acheté un vélo
Lolita a plus d’ parrain
Nous on a plus notre meilleur copain
T’étais un clown mais t’étais pas un pantin
Enfoiré on t’aimait bien
Maintenant on est tous orphelins
Putain d’ camion, putain d’ destin, tiens ça craint
Enfoiré on t’aimait bien
Maintenant on est tous orphelins
Putain d’ camion, putain d’ destin, tiens ça craint
Nos absents – Grand Corps Malade(2010)
C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte.
C’est ceux qu’on a aimé qui créaient un vide presque tangible, car l’amour qu’on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.
Pour certains on le savait, on s’était préparé au pire, mais d’autres ont disparu d’un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord, car la mort a ses raisons que notre raison ignore.
Alors on s’est regroupé d’un réconfort utopiste. A plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste.
C’est seul qu’on fait son deuil, car on est seul quand on ressent. On apprivoise la douleur et la présence de nos absents. Nos absents sont toujours là, à l’esprit et dans nos souvenirs. Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires.
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés, ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n’était.
On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou, en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous.
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure, dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur.
Nous on a des projets, on dessine nos lendemains. On décide du chemin, on regarde l’avenir entre nos mains. Et au cœur de l’action, dans nos victoires ou nos enfers, on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire.
Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant. J’me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant. Faut apprendre à l’accepter pour essayer de vieillir heureux, mais chaque année nos absents sont un peu plus nombreux.
Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle, mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastelles. Ce temps qui pour une fois est un véritable allié. Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers.
Moi les morts, les disparus, je n’en parle pas beaucoup. Alors j’écris sur eux, je titille les sujets tabous. Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous. Qui fait qu’on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousse.
C’est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte, qu’elle crée en nous une présence qui nous rend faible, nous supporte. C’est ceux qu’on a aimé qui créait un vide presque infini, qu’inspirent des textes premier degré. Faut dire que la mort manque d’ironie.
Le Paradis Blanc – Michel Berger (1990)
Il y a tant de vagues et de fumée
Qu’on arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l’énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n’y aura plus d’abonné
Et plus d’idée
Que le silence pour respirer
Recommencer là où le monde a commencé
Je m’en irai dormir dans le paradis blanc
Où les nuits sont si longues qu’on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rêves d’enfant
Je m’en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine
Et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d’argent
Comme, comme, comme avant
Y a tant de vagues, et tant d’idées
Qu’on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j’aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D’avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer là où le monde a commencé
Je m’en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s’amusent dès le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c’est d’être vivant
Je m’en irai dormir dans le paradis blanc
Où l’air reste si pur
Qu’on se baigne dedans
A jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d’enfant
Comme, comme, comme avant
Parler aux poissons
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d’enfant
Comme avant
On se retrouvera – Francis Lalanne (1986)
Promets-moi si tu me survis
D’être plus fort que jamais
Je serai toujours dans ta vie
Près de toi, je te promets
Et si la mort me programme
Sur son grand ordinateur
De ne pas en faire un drame
De ne pas en avoir peur
Pense à moi, comme je t’aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l’anathème
Qui me tient loin de tes bras
Pense à moi, comme je t’aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, On se retrouvera
N’oublie pas ce que je t’ai dit
L’amour est plus fort que tout
Ni l’enfer ni le paradis
Ne se mettront entre nous
Et si la mort me programme
Sur son grand ordinateur
Elle ne prendra que mon âme
Mais elle n’aura pas mon cur
Pense à moi, comme je t’aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l’anathème
Qui me tient loin de tes bras
Pense à moi, comme je t’aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, On se retrouvera
On se retrouvera
On se retrouvera…
Tu ne m’as pas laissé le temps – David Hallyday (1999)
J’reste
Avec mes souvenirs
Ces morceaux de passé
Comme un miroir en éclats de verre
Mais à quoi ça sert
C’que j’voulais te dire
Reste sur des pages blanches
Sur lesquelles je peux tirer un trait
C’était juste hier
Tu ne m’as pas laisser le temps
De te dire tout c’que je t’aime
Et tout c’que tu me manques
On devrait toujours dire avant
L’importance que les gens prennent
Tant qu’il est encore temps
Mais tu ne m’as pas laissé le temps
Toi qui m’as tout appris
Et m’as tant donné
C’est dans tes yeux que je grandissais
Et me sentais fier
Pourquoi sans prévenir
Un jour tout s’arrête
Et vous laisse encore plus seul sur terre
Sans savoir quoi faire
On devrait toujours dire avant
L’importance que les gens prennent
Tant qu’il est encore temps
Tu n’m’as pas laissé le temps
Trop tard – Gérald de Palmas (2001)
J’ai fermé toutes les portes,
éteint les lumières
Pensé à toi très fort , assis par terre
Et moi qui étais sûr que tu étais
Immortelle
Aujourd’hui c’est si dur,
Moi en bas toi au ciel
Trop tard pour te le dire ,tu es partie
Trop tard pour te l’écrire,
Tes yeux ne pourront
Plus jamais me lire
Mes souvenirs m’entraînent
Il y a si longtemps
Des regrets, de la peine,
J’en ai tellement
Tu m’as donné tes jours,
Tes nuits et ton amour
Protégé des mauvais moments
Et des gens autour
Mais c’est trop tard
pour te le dire ,tu es partie
Trop tard pour te l’écrire,
Tes yeux ne pourront
Plus jamais me lire
Et quand on devra t’ensevelir
Sur la pierre on pourra lire
Mais qui pourra lire
Trop tard pour te le dire ,tu es partie
Trop tard pour te l’écrire,
Tes yeux ne pourront
Plus jamais me lire
Sois tranquille – Emmanuel Moire (2009)
Je sais la peine, je sais les pleurs et les pensées
Que les mots ne peuvent apaiser
Je sais l’absence, je sais le manque et les regrets
Les souvenirs qu’il faut revivre et partager
Je sais tout ce qui est pour toi
Refrain:
Sois tranquille
Tout va bien
Sois tranquille
Je suis serein
Je repose en paix où je vais
Sois tranquille
Ce n’est rien
Sois tranquille
J’en ai besoin
Et je m’en sers
Je me libère
Enfin
Je sais le temps, je sais les heures, les nuits passées
Que les rêves ne peuvent soulager
Je sais l’effort et le courage à retrouver
Se souvenir qu’il faudra vivre et continuer
Je sais tout ce qui est pour toi
Sois tranquille
Tout va bien
Sois tranquille
Je suis serein
Je repose en paix où je vais
Sois tranquille
Ce n’est rien
Sois tranquille
J’en ai besoin
Et n’oublie pas, n’oublie pas
Je suis la…
Je suis la
Je suis la
Je suis la
Sois tranquille
Tout va bien
Sois tranquille
Je suis serein
Je repose en paix où je vais
Sois tranquille
Et sois certain
Où que tu sois
Je veille sur toi
Mon frère…
Barbara – Nantes
Il pleut sur Nantes
Donne-moi la main
Le ciel de Nantes
Rend mon cœur chagrin
Un matin comme celui-là
Il y a juste un an déjà
La ville avait ce teint blafard
Lorsque je sortis de la gare
Nantes m’était encore inconnue
Je n’y étais jamais venue
Il avait fallu ce message
Pour que je fasse le voyage:
“Madame soyez au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Faites vite, il y a peu d’espoir
Il a demandé à vous voir.”
A l’heure de sa dernière heure
Après bien des années d’errance
Il me revenait en plein cœur
Son cri déchirait le silence
Depuis qu’il s’en était allé
Longtemps je l’avais espéré
Ce vagabond, ce disparu
Voilà qu’il m’était revenu
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Je m’en souviens du rendez-vous
Et j’ai gravé dans ma mémoire
Cette chambre au fond d’un couloir
Assis près d’une cheminée
J’ai vu quatre hommes se lever
La lumière était froide et blanche
Ils portaient l’habit du dimanche
Je n’ai pas posé de questions
A ces étranges compagnons
J’ai rien dit, mais à leurs regards
J’ai compris qu’il était trop tard
Pourtant j’étais au rendez-vous
Vingt-cinq rue de la Grange-au-Loup
Mais il ne m’a jamais revue
Il avait déjà disparu
Voilà, tu la connais l’histoire
Il était revenu un soir
Et ce fut son dernier voyage
Et ce fut son dernier rivage
Il voulait avant de mourir
Se réchauffer à mon sourire
Mais il mourut à la nuit même
Sans un adieu, sans un “je t’aime”
Au chemin qui longe la mer
Couché dans le jardin des pierres
Je veux que tranquille il repose
Je l’ai couché dessous les roses
Mon père, mon père
Il pleut sur Nantes
Et je me souviens
Le ciel de Nantes
Rend mon cœur chagrin
Claude Nougaro – Il faut tourner la page
Il faut tourner la page
Changer de paysage
Le pied sur une berge
Vierge
Il faut tourner la page
Toucher l’autre rivage
Littoral inconnu
Nu
Et là, enlacer l’arbre
La colonne de marbre
Qui fuse dans le ciel
Tel
Que tu quittes la terre
Vers un point solitaire
Constellé de pluriel
Il faut tourner la page
Redevenir tout simple
Comme ces âmes saintes
Qui disent dans leurs yeux
Mieux
Que toutes les facondes
Des redresseurs de monde
Des faussaires de
Dieu
Il faut tourner la page
Jeter le vieux cahier
Le vieux cahier des charges
Oh ! yeah !
Il faut faire silence
Traversé d’une lance
Qui fait saigner un sang
Blanc
Il faut tourner la page
Aborder le rivage
Où rien ne fait semblant
Saluer le mystère
Sourire
Et puis se taire
Daniel GUICHARD – Mon vieux
Dans son vieux pardessus râpé
Il s’en allait l’hiver, l’été
Dans le petit matin frileux
Mon vieux.
Y avait qu’un dimanche par semaine
Les autres jours, c’était la graine
Qu’il allait gagner comme on peut
Mon vieux.
L’été, on allait voir la mer
Tu vois c’était pas la misère
C’était pas non plus l’paradis
Hé oui tant pis.
Dans son vieux pardessus râpé
Il a pris pendant des années
L’même autobus de banlieue
Mon vieux.
L’soir en rentrant du boulot
Il s’asseyait sans dire un mot
Il était du genre silencieux
Mon vieux.
Les dimanches étaient monotones
On n’recevait jamais personne
Ça n’le rendait pas malheureux
Je crois, mon vieux.
Dans son vieux pardessus râpé
Les jours de paye quand il rentrait
On l’entendait gueuler un peu
Mon vieux.
Nous, on connaissait la chanson
Tout y passait, bourgeois, patrons,
La gauche, la droite, même le bon Dieu
Avec mon vieux.
Chez nous y avait pas la télé
C’est dehors que j’allais chercher
Pendant quelques heures l’évasion
Tu sais, c’est con!
Dire que j’ai passé des années
A côté de lui sans le r’garder
On a à peine ouvert les yeux
Nous deux.
J’aurais pu c’était pas malin
Faire avec lui un bout d’chemin
Ça l’aurait p’t’-êt’ rendu heureux
Mon vieux.
Mais quand on a juste quinze ans
On n’a pas le cur assez grand
Pour y loger tout’s ces chos’s-là
Tu vois.
Maintenant qu’il est loin d’ici
En pensant à tout ça, j’me dis
“J’aim’rais bien qu’il soit près de moi”
PAPA…
Françoise Hardy – Tant de Belles Choses
Même s’il me faut lâcher ta main
Sans pouvoir te dire “à demain”
Rien ne défera jamais nos liens
Même s’il me faut aller plus loin
Couper les ponts, changer de train
L’amour est plus fort que le chagrin
L’amour qui fait battre nos coeurs
Va sublimer cette douleur
Transformer le plomb en or
Tu as tant de belles choses à vivre encore
Tu verras au bout du tunnel
Se dessiner un arc-en-ciel
Et refleurir les lilas
Tu as tant de belles choses devant toi
Même si je veille d’une autre rive
Quoi que tu fasses, quoi qu’il t’arrive
Je serai avec toi comme autrefois
Même si tu pars à la dérive
L’état de grâce, les forces vives
Reviendront plus vite que tu ne crois
Dans l’espace qui lie le ciel et la terre
Se cache le plus grand des mystères
Comme la brume voilant l’aurore
Il y a tant de belles choses que tu ignores
La foi qui abat les montagnes
La source blanche dans ton âme
Penses-y quand tu t’endors
L’amour est plus fort que la mort
Dans le temps qui lie ciel et terre
Se cache le plus beau des mystères
Penses-y quand tu t’endors
L’amour est plus fort que la mort
Pierre Bachelet – Partis avant d’avoir tout dit
Ils avaient le coeur en bleu
Ils avaient le temps, la vie devant eux
Mais l’éclair, le tonnerre leur a fauché
Leur jeunesse et leurs idées
Une phrase interrompue
Ce rire étonné qu’on n’entendra plus
Souvenirs d’avenir
Stylo brisé, ils avaient priorité
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir aimé
Avant même d’avoir fini de commencer
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir chanté
D’avoir fait le tour des années
D’avoir fait l’amour
D’avoir tout donné
Dans sa chambre où tout l’attend
Il a laissé là ses cours d’étudiant
Une photo quelque part
Dernières vacances
Qui vous dit
Dans le silence :
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir aimé
Avant même d’avoir eu la vie pour exister
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir chanté
D’avoir pris la vie comme elle vient
Aimer les copains, sauver l’amitié
L’encre sèche dans l’encrier
À qui le courage de le refermer ?
Ce qui reste sans eux, c’est encore eux
Ça vous brûle au fond des yeux
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir aimé
Avant même d’avoir fini de commencer
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir chanté
D’avoir fait le tour des années
D’avoir fait l’amour
D’avoir tout donné
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir aimé
Avant même d’avoir écrit ce qu’ils étaient
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir chanté
D’avoir fait le tour des années
D’avoir fait l’amour
D’avoir tout donné
Partis avant d’avoir tout dit
Partis avant d’avoir aimé
Avant même d’avoir écrit ce qu’ils voulaient
Celine Dion- Encore un soir
Je ne crois pas que tu meurs
Je ne crois pas que je pleure
Non je n’y crois pas
Je n’crois pas que tu t’en vas dans ce cercueil seule et froid
Non je n’y crois pas
Car je crois que tu es là
Que tu marches auprès de moi
Oui ça j’y crois
Et je crois bien que tu restes
A côté dans l’autre pièce
Oui ça j’y crois
Je ne crois pas à l’enfer
De te voir là sur la Terre
Non je n’y crois pas
Je ne crois pas au silence
A la peur ou à l’absence
Non je n’y crois pas
Mais je crois que tu es là
Dans mon coeur au fond de moi
Oui ça j’y crois
Et je crois que tu me sers
Comme tu me serrais hier
Oui ça j’y crois
Oui je crois que tu m’embrasses
Que personne ne te remplace
Oh oui ça j’y crois
Et j’y croirai pour toujours
Tant qu’il reste de l’amour
Oui crois-moi
Je ne crois pas à la mort
De l’esprit même si le corps lui un jour s’en va
Car je crois bien que tu restes
A côté dans l’autre pièce
Oui ça j’y crois
Et j’y croirai pour toujours
Car ça ne meurt jamais l’amour
Oui crois-moi
Oui j’y croirai pour toujours
Car ça ne meurt jamais l’amour
Et moi ça j’y crois
Oui j’y croirai pour toujours
Car il ne meurt pas l’amour que j’ai pour toi
Marc Dupré – Ton départ
Laisse aller
Je reste fort à tes côtés
J’essaierai
D’avancer sans tomber
Que tout s’arrête là
Et c’est toi qu’il me faut
Pour tenir ici-bas
J’ai peur de ton départ
Tu t’en vas
Mais sans toi
Comment trouver ma voie?
Que tout s’arrête là
Et c’est toi qu’il me faut
Pour tenir ici-bas
J’ai peur de ton départ
Du dernier au revoir
Ta voix comme un écho
Tu t’éloignes déjà
Que tout s’arrête là
Et c’est toi qu’il me faut
Pour tenir ici-bas
J’ai peur de ton départ
Laisse aller
Ton dernier souffle, je suis à tes côtés
Pit Baccardi – Si loin de toi
J’ai pas eu besoin d’enlever la mer de la côte d’azur
Je m’assierais plutôt au bord en l’admirant c’est sûr
J’envie à l’être d’avoir avec lui ce qu’il a de plus cher
Sans chercher à lui prendre car je sais ce que ça vaut
L’absence est à l’amour ce qu’est au feu le vent attiseur
Éteint le petit allume le grand tu me manques
J’ai cherché à comprendre : on m’a dit “c’est ça la vie”
Envie de toi, envie d’émois parfois je me sens trahi
Je suis cet arbre sans feuilles ce stylo sans encre
C’est la sécheresse en moi-même en saison de pluie
Je ne peux rien cultiver d’autre si ce n’est la tristesse
Christ, est-ce une manière de me dire
Que je n’ai pas le droit à tout ?
C’est le coeur qui parle, la main qui tremble
Sur des feuilles mortes
Et une tête qui pense toujours si t’étais en vie
Si t’étais en vie
Si loin de toi je suis si seul tu me manques
Si loin de toi je suis si seul tu me manques maman
Un soir tu m’as pris dans tes bras en me disant “je t’aime fils”
J’ai plissé les yeux collé ma tête sur ton torse
Qui sait ce que j’ai ressenti au moment
Où du bruit au balcon me réveilla
Ce n’était qu’un rêve à l’intérieur, c’est grève d’une minute
Ville morte à minuit heure noire
Pour une nuit blanche où je voyais rouge
Dois-je en vouloir à la vie ou à Dieu
Vu que c’est lui qui la propose et en dispose ?
La vie me fait rire, me fait pleurer, me fait même pleurer de rire
C’est juste un rêve dont la mort nous réveille
9 mois après ma naissance on t’apostrophe de là-haut
Tu me manques
Si loin de toi je suis si seul tu me manques
Si loin de toi je suis si seul tu me manques maman
Mon cœur était vierge, avait peur de saigner
Mais le malheur a forcé et a percé
Je suis en manque maman, je deviens fou, je n’ai pas d’asile
Mais j’avance quand même mon asile le plus pur est ton sein
Chaque pas que je fais dans la vie est juste un pas de plus vers toi
J’ai songé au chemin le plus court mais est-ce vraiment un raccourci ?
La vie me va mal, la mort m’ira peut être mieux
Je suis jeune, flambant à leurs yeux
Mais je commence à me faire vieux dans ma tête
Toute ma vie, c’est le doute, les dettes
Ce que je goûte m’embête
Me dégoûte j’arrête tout je mets pause ou eject
Carpe diem
Je fais partie du cercle des poètes de la rue
Mais je serais peut-être mieux mort que vivant maman
J’ai le mal de vivre, pas mal que je t’enivre avec mes maux
Ma vie : un livre avec un tas de poussière dessus
J’écris, mon bide est noué, j’ai peur
L’avouer c’est hors mes principes
Mais là c’est plus fort que moi
Où est le diable ? plus je grandis plus Dieu est petit
Je te rejoindrai au paradis dans un train d’enfer
Tu me manques
Si loin de toi je suis si seul tu me manques
Si loin de toi je suis si seul tu me manques maman
Joyce Jonathan – Depuis
Comme un enfant, j’ai cassé ma tirelire
Pour un cadeau que j’voulais t’offrir
J’ai pas un rond mais ça me fait rire
Je vis d’amour et d’eau fraîche, de larmes de plaisir
Comme un écolier, je t’ai vu partir
Quand les parents t’apprennent à grandir
J’ai compris quel était notre avenir
J’avais rien vu venir, rien vu venir
Je pense à toi souvent depuis
J’m’endors avec ton souvenir
Il y a comme une place vide dans mon lit
Je pense à toi souvent depuis
J’peux pas me dire que c’est fini
Il y a comme une place vide dans mon lit
Comme une maman j’ai voulu te chérir / retenir
Te garder plus longtemps sous mon toit
Comme une amie j’ai fini par te dire
Pars demain si tu veux, je serai toujours là
Je pense à toi souvent depuis
J’m’endors avec ton souvenir
Il y a comme une place vide dans mon lit
J e pense à toi souvent depuis
J’peux pas me dire que c’est fini
Il y a comme une place vide dans mon lit
Comme un militaire je joue l’insensible
Et je ne fais plus rien sans réfléchir
Mes amours sont fades et sans désir
Et je pense au passé, je conjugue au passé
Je pense à toi souvent depuis
J’m’endors avec ton souvenir
Il y a comme une place vide dans mon lit
Je pense à toi souvent depuis
J’peux pas me dire que c’est fini
Il y a comme une place vide dans mon lit
Caroline Costa – Comment vivre sans toi
Je ne trouve même plus les mots
Pour te parler de mon coeur
L’espoir n’est plus qu’un tombeau
Où l’on enterre le bonheur
Tous les pétales de ma vie se sont fanés aujourd’hui
Reste nos souvenirs d’hier
Et pour ce jour nos prières
Mais comment vivre sans toi
Si tu n’es plus là
Mon coeur te cherche
Mais mes yeux ne te trouvent pas
Mais comment vivre sans toi
Si tu n’es plus là
Qu’on prenne mon âme
Mais crois moi je ne t’ oublierais pas
Qu’on parle de nous au passé
Je ne peux pas l’accepter
Je te ressens près de moi
Mais ces gens ne te voient pas
J’ai tellement froid recouvre-moi
J’entends ta voix mais ne te vois pas
Donnes moi la main
Sans toi je ne suis plus rien
Mais comment vivre sans toi
Si tu n’es plus là
Mon coeur te cherche
Mais mes yeux ne te trouvent pas
Mais comment vivre sans toi
Si tu n’es plus là
Qu’on prenne mon âme
Mais crois moi je ne t’ oublierais pas
Je cherche l’espoir qui m’aidera
À vaincre ce destin
Je cherche au loin le paysage heureux
Que tu n’a pas
Je pleure
Je ne te vois pas
Je t’appelle
Tu ne m’entends pas
Je t’aime !!!
J’ai besoin de toi
Je t’en pris
Reviens vers moi
Aaaaaaaaaaaaaa
Mais comment vivre sans toi
Si tu n’es plus là
Mon coeur te cherche
Mais mes yeux ne te trouvent pas
Calogero – Le portrait
Il mélange au fond de sa tasse
Du miel
Il regarde par le vasistas
Le ciel
A chaque fois que passe un avion
Il se dit que c’est peut-être elle
Qui passe au-dessus de sa maison
On lui a dit qu’elle était au ciel
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Perdu au fond de sa classe
Il s’emmêle
Il se débat avec le coriace
Pluriel
Puis il explique à sa maîtresse
Pourquoi “parent” ne prend pas d'”s”
Des câlins il en voudrait tellement
Ne serait-ce qu’un par an
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Il rêve couché sur un parquet
Dans les bras de sa mère
Dessinée à la craie
Tous les soirs en secret
Ce dessin il le fait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Trait pour trait
À partir d’un portrait
Amel Bent – Tu n’es plus là
La présence chaude que mon corps aimait serrer
Où est passée la voix qui répondait à mes questions
L’autre moitié de moi sans qui j’perdais la raison
Et qu’il m’offre encore ses plus beaux éclats
Le vide est le même tu n’es plus là
Dans mon demi sommeil, je respire
Mais je sais que je ne vis pas
Plus rien n’est pareil
Quand tu n’es plus là
J’y pense tous les jours j’ai même peur d’accepter
J’ai gardé le meilleur et enterré le reste
Effacé tes erreurs, oublié tes promesses
Et qu’il m’offre encore ses plus beaux éclats
Le vide est le même tu n’es plus là
Dans le monde de mes sommeils, je respire
Mais je sais que je n’vis pas
Plus rien n’est pareil
Quand tu n’es plus là
Et qu’il m’offre encore ses plus beaux éclats
Le vide est le même tu n’es plus là
Dans le monde de mes sommeils, je respire
Mais je sais que je n’vis pas
Plus rien n’est pareil
Quand tu n’es plus là
Et qu’il m’offre encore ses plus beaux éclats
Le vide est le même tu n’es plus là
Dans le monde de mes sommeils, je respire
Mais je sais que je n’vis pas
Plus rien n’est pareil
Quand tu n’es plus là
Et qu’il m’offre encore ses plus beaux éclats
Le vide est le même tu n’es plus là
Dans le monde de mes sommeils, je respire
Mais je sais que je n’vis pas
Plus rien n’est pareil
Quand tu n’es plus là
Kool Shen – Un ange dans le ciel
Chère Vivi, je t’écris cette lettre
Plein de solitude, l’âme en peine comme d’habitude
Depuis que t’es partie
Depuis que t’es plus là
C’est plus la même
J’ai perdu ma Reine
Et d’un coup mon royaume tout entier s’est vidé
Mon visage aussi s’est ridé, mon coeur lui s’est bridé
Un truc en moi ce matin-là s’est brisé
Et même si je réponds ça va merci
J’ai dans la bouche comme un mauvais goût d’inertie
J’essaye de le masquer mais c’est dur Vivi, je te jure ouais, putain c’est dur
J’ai l’impression qu’il y a plus rien, j’ai peur en fait
Depuis que tes yeux me regardent plus, il se passe plus rien
J’ai plus même trop en fait je le sais ouais
Et ça je le vis mal
J’enchaîne les merdes et t’es plus là au final
Il me reste quoi à moi à par des souvenirs, des tonnes de photos usées
Et puis ton sourire trop longtemps figé
J’peux plus, ou plus pareil
Alors chaque jour je me tue même un peu plus que la veille
Et je tue le temps parfois mal
Là-haut tu le sens, je le sais
Mais tu me manques bébé tu me manques
Un ange dans le ciel
Ouais, seigneur accueille un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi je t’ai pas dit “adieu” mais “à plus”
Un ange dans le ciel
Un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi, pour toi j’ai fait pleurer ma plume
Toi et moi on a tout fait
Toujours prête à me donner ton oxygène
Dans les moments où tu sentais que j’étouffais
T’étais prête à tuer si on me touchait
Prête à décrocher la lune même si je la voulais
On a grandi ensemble, construit ensemble
Traversé les pires moments
Vieillir ensemble c’est ce qu’on voulait
Même si on était plus ensemble
On s’en foutait c’est ce qu’on visait
Tu te rappelles, nos fous rires
Nos premiers instants, ton sourire
Les moments de silence qui voulaient tout dire
Et on pouvait se nourrir l’un de l’autre
Ouais, tellement j’étais toi, t’étais moi
Et ça nos proches en étaient témoins
T’étais ma vie, mon coeur et mon sang
T’étais mes tripes, mon moteur et mon sens à tout ça
Alors depuis je tue le temps parfois mal et de la haut tu le sens
Je le sais bébé, mais tu me manques
Un ange dans le ciel
Ouais, seigneur accueille un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi je t’ai pas dit “adieu” mais “à plus”
Un ange dans le ciel
Un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi, pour toi j’ai fait pleurer ma plume
Qu’est-ce que je peux dire de plus
À part qu’il n’y a pas qu’à moi que tu manques
C’est un gouffre que t’as laissé Vivi
Tu sais qu’aujourd’hui y’a pas que mes nuits à moi que tu hantes
Pour Fatou aussi y’a plus d’été
T’en fais pas Vivi non t’en fais pas
On va relever la tête
Je sais que t’aurais voulu nous voir plus forts
Alors on va faire ce qu’il faut pour s’en remettre
Bébé t’inquiète
Ouais, seigneur accueille un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi je t’ai pas dit “adieu” mais “à plus”
Un ange dans le ciel
Un ange de plus
Un ange dans le ciel
Vivi, pour toi j’ai fait pleurer ma plume
Pascal Obispo – Arigato
Je t’ai vu me quitter des yeux
Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux,
On y parle d’endroit merveilleux, merveilleux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour nous dire si c’est vrai ou pas
Tu aurais pu me dire adieu
Tenir ma main encore un peu
Même si là-bas on y est mieux, on y est mieux
Mais personne n’est revenu encore
De cet autre côté du décor
ARIGATÔ
Mon amour, à bientôt
Mon amour
ARIGATÔ
Je t’ai vu t’en aller heureux
Pour un voyage vers le grand bleu
Qui ne se fait jamais à deux, jamais à deux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour dire qu’on vous attend là-bas
ARIGATÔ
Mon amour, à bientôt
Mon amour
S’il fallait entre nous un mot
Qui soit comme un dernier cadeau
Avant de fermer les rideaux
Mon amour, mon amour, mon amour, mon amour
À bientôt
ARIGATÔ
Mon amour, mon amour,
A bientôt
ARIGATÔ
Slimane et Vitaa – Maëlys
Qui? me séparent de toi
Je? crois qu’ici, j’ai fait l’tour
Je ne suis plus tout à fait moi
Ici, je te vois partout
Pas? une pièce qui ne t’oublie
Ici,? j’les entends partout
Tes histoires de petite fille
Dans? ta chambre, je ne peux pas
Y entrer, c’est trop pour moi
Dans ta chambre, je n’y vais pas
Tes poupées s’ennuient sans toi
J’n’arriverai? pas, plus rien n’a de sens ici
Je ne peux pas me dire que c’était écrit
Là où y avait la villa
Sur les murs, je lis ton prénom
Tous tes amis parlent de toi
Ils t’ont même écrit une chanson
Qu’est ce que j’espère encore ? Pourquoi
Quand le téléphone sonne, mon cœur se serre ?
Dis-moi pourquoi, même si je fais l’effort, devant les autres
Je ne tiens plus debout, comment tenir le coup ?
Dans ta chambre, je ne peux pas
Y entrer, c’est trop pour moi
Dans ta chambre, je n’y vais pas
Tes poupées s’ennuient sans toi
J’n’arriverai pas, plus rien n’a de sens ici
Je ne peux pas me dire que c’était écrit
Je n’peux pas, je n’peux pas
J’y arrive pas, j’y arrive pas
Je fais quoi ? Je fais quoi ?
Moi, sans toi ? Moi, sans toi ?
J’ai la foi mais malgré ça, ça fait mal ,j’y arrive pas
Dans ta chambre, je ne peux pas
Y entrer, c’est trop pour moi
Dans ta chambre, je n’y vais pas
Tes poupées s’ennuient sans toi
Christophe Maé – Charly
Hey Charly! Dis c’est comment chez toi?
Tu sais c’est bien triste ici depuis que l’on rit sans toi
Hey Charly! Dis c’est quand qu’on se voit?
Je te chanterai la vie même sans voix
Et dans mon cœur je t’entends encore jouer à la marelle, et 1 2 3 soleil et puis te voilà au ciel
Combien de temps, combien de temps on devra regarder nos enfants partir, là-haut dans tes bras?
Oh mais dis le moi!
Combien de temps, nous, combien de temps on aura avant de revoir ton sourire et te serrer dans tes bras, et de te serrer dans tes bras?
Hey Charly! J’ai plus de nouvelles tu vois?
J’espère que tout baigne là-bas et que les anges rient avec toi,ouais!
Hey Charly! On est plus fort que tu crois, la vie a donnée, à repris, c’est comme ça.
Combien de temps, combien de temps on devra regarder nos enfants partir, là-haut dans tes bras?
Oh mais dis le moi!
Combien de temps, nous, combien de temps on aura avant de revoir ton sourire et te serrer dans tes bras, et de te serrer dans tes bras?
J’allume une flamme sous la lune et mon cœur se rallume, se rallume pour toi
J’allume une flamme sous la lune et mon cœur se consume, se consume pour toi
Hey Charly!
Combien de temps, combien de temps on devra regarder nos enfants partir, là-haut dans tes bras?
Oh mais dis le moi!
Combien de temps, nous, combien de temps on aura avant de revoir ton sourire et te serrer dans tes bras, et de te serrer dans tes bras?
Combien de temps, combien de temps on devra regarder nos enfants partir, là-haut dans tes bras?
Oh mais dis le moi!
Combien de temps, nous, combien de temps on aura avant de revoir ton sourire et te serrer dans tes bras, et de te serrer dans tes bras?
Vas-y danse pour moi, oui danse pour moi
Yves Duteil – Ton absence
Ton visage me dit plus rien
Je t’appelle et tu ne viens pas
Ton absence est entrée chez moi
C’est un grand vide au fond de moi
Tout ce bonheur qui n’est plus là
Si tu savais quand il est tard
Comme je m’ennuie de ton regard
C’est le revers de ton amour
La vie qui pèse un peu plus lourd
Comme une marée de silence
Qui prend ta place et qui s’avance
C’est ma main sur le téléphone
Maintenant qu’il n’y a plus personne
Ta photo sur la cheminée
Qui dit que tout est terminé
Tu nous disais qu’on serait grands
Mais je découvre maintenant
Que chacun porte sur son dos
Tout son chemin comme un fardeau
Les souvenirs de mon enfance
Les épreuves et les espérances
Et cette fleur qui s’épanouit sur le silence…
Ton absence
Je dors blotti dans ton sourire
Entre le passé, l’avenir
Et le présent qui me retient
De te rejoindre un beau matin
Dans ce voyage sans retour
Je t’ai offert tout mon amour
Même en s’usant l’âme et le corps
On peut aimer bien plus encore
Bien sûr, là-haut de quelque part
Tu dois m’entendre ou bien me voir
Mais se parler c’était plus tendre
On pouvait encore se comprendre
Mon enfance a pâli, déjà
Ce sont des gestes d’autrefois
Sur des films et sur des photos
Tu es partie tellement trop tôt
Je suis resté sur le chemin
Avec ma vie entre les mains
À ne plus savoir comment faire
Pour avancer vers la lumière
Il ne me reste au long des jours
En souvenir de ton amour
Que cette fleur qui s’épanouit sur le silence…
Ton absence.
Garou et Michel Sardou – La rivière de notre enfance
Je me souviens d’un arbre
Je me souviens du vent
De ces rumeurs de vagues
Au bout de l’océan
Je me souviens d’une ville
Je me souviens d’une voix
De ces noëls qui brillent
Dans la neige et le froid
Je me souviens d’un rêve
Je me souviens d’un roi
D’un été qui s’achève
D’une maison de bois
Je me souviens du ciel
Je me souviens de l’eau
D’une robe en dentelle
Déchirée dans le dos
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Je me souviens d’un phare
Je me souviens d’un signe
D’une lumière dans le soir
D’une chambre anonyme
Je me souviens d’amour
Je me souviens des gestes
Le fiacre du retour
Le parfum sur ma veste
Je me souviens si tard
Je me souviens si peu
De ces trains de hasard
D’un couple d’amoureux
Je me souviens de Londres
Je me souviens de Rome
Du soleil qui fait l’ombre
Du chagrin qui fait l’homme
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Thierry Amiel – De là-haut
Je me souviens d’un arbre
Je me souviens du vent
De ces rumeurs de vagues
Au bout de l’océan
Je me souviens d’une ville
Je me souviens d’une voix
De ces noëls qui brillent
Dans la neige et le froid
Je me souviens d’un rêve
Je me souviens d’un roi
D’un été qui s’achève
D’une maison de bois
Je me souviens du ciel
Je me souviens de l’eau
D’une robe en dentelle
Déchirée dans le dos
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Je me souviens d’un phare
Je me souviens d’un signe
D’une lumière dans le soir
D’une chambre anonyme
Je me souviens d’amour
Je me souviens des gestes
Le fiacre du retour
Le parfum sur ma veste
Je me souviens si tard
Je me souviens si peu
De ces trains de hasard
D’un couple d’amoureux
Je me souviens de Londres
Je me souviens de Rome
Du soleil qui fait l’ombre
Du chagrin qui fait l’homme
Ce n’est pas du sang qui coule dans nos veines
C’est la rivière de notre enfance
Ce n’est pas sa mort qui me fait d’la peine
C’est de n’plus voir mon père qui danse
Edith Piaf – Mon Dieu
Mon Dieu ! Laissez-le moi
Encore un peu, mon amoureux…
Un jour, deux jours,
Huit jours ! Laissez-le moi
Encore un peu à moi !
Le temps de s’adorer
De se le dir’… Le temps
De s’fabriquer des souvenirs…
Mon Dieu, oh ! oui,
Mon Dieu ! Laissez-le moi
Remplir un peu ma vie !
Mon Dieu, mon Dieu,
Mon Dieu ! Laissez-le moi
Encore un peu, mon amoureux…
Six mois, trois mois,
Deux mois ! Laissez-le moi,
Oh ! seulement un mois !
Le temps de commencer
Ou de finir.. le temps
D’illuminer ou de souffrir…
Mon Dieu, mon Dieu,
Mon Dieu ! Même si j’ai tort
Laissez-le moi un peu…
Même si j’ai tort, laissez-le moi encore.
Jean Louis Aubert – Alter Ego
Il manque un temps a ma vie
Il manque un temps, j’ai compris
Il me manque toi
Mon alter ego
Tu es parti, mon ami
Tu m’as laissé, seul ici
Et partout tu me suis, mon alter ego
Où tu es, j’irais te chercher
Où tu vis, je saurais te trouver
Où tu te cache, laisse moi deviner
Dans mon coeur rien ne change
T’es toujours la mon ange
Il manque ton rire, a l’ennui
Il manque ta place a ma nuit
C’est pas du jeu, mon alter ego
Où tu es, j’irais te chercher
Où tu vis, je saurais te trouver
Où tu te cache, laisse moi deviner
T’es surement baie des anges
Surement la bas mon ange
(Surement la bas (x2))
Où tu es, j’irais te chercher
Où tu vis, je saurais te trouver
Où que tu sois, je voudrais que tu saches
Dans mon cœur rien ne change
T’es toujours la mon ange
Il manque un temps a ma vie
Il manque ton rire je m’ennuie
Il me manque toi, mon ami
Julien Doré – Sublime & Silence
Sublime & silence
Autour de moi tu danses
Et moi j’oublie
C’est à toi que je pense,
À ta bouche brûlante
Quand tu souris
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Sublime & silence
Autour de toi tout tremble
Et tout finit
C’est à moi que tu penses
À nos ivresses blanches
Je fuis Paris
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
France Gall – Si maman si
Tous mes amis sont partis
Mon cœur a déménagé
Mes vacances c’est toujours Paris
Mes projets c’est continuer
Mes amours c’est inventer
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Et le temps défile comme un train
Et moi je suis à la fenêtre
Je suis si peu habile que demain
Le bonheur passera peut-être
Sans que je sache le reconnaître
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Mon cœur est confortable, bien au chaud
Et je laisse passer le vent
Mes envies s’éteignent, je leur tourne le dos
Et je m’endors doucement
Sans chaos ni sentiment
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon cœur aussi
Maître Gims – Tu vas me manquer
Je sens que la journée promet d’être longue
Et je n’ai plus personne avec qui la passer
Je n’peux plus porter cette solitude, tu me manques
Je n’ai plus personne à qui me confier
Je passe mon temps à regarder par la fenêtre
Et je n’te vois toujours pas rentrer
Tout semble faux
J’en perds mes mots
Que vais-je devenir ?
Je garde espoir de te revoir
Dans un proche avenir
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Les souvenirs ne cessent de me hanter
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Ca fait si longtemps que j’attends que tu rentres mais
De ma mémoire tu disparais
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Encore toute une nuit à rêver de ton retour
Mais l’réveil me replonge dans ce cauchemar
Sans toi, je m’ennuie, je souris quand je repense aux discussions qu’on avait matins et soirs
Je pense tellement à toi
Parfois j’ai l’impression d’entendre le son de ta voix
Plus les années passent et plus je réalise à quel point j’avais de la chance de t’avoir
Tout semble faux
J’en perds mes mots
Que vais-je devenir ?
Je garde espoir de te revoir
Dans un proche avenir
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Les souvenirs ne cessent de me hanter
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Ca fait si longtemps que j’attends que tu rentres mais
De ma mémoire tu disparais
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Je t’attendrai encore, encore et encore
Tant que mon corps supportera ton absence
Je t’attendrai encore, encore et encore
J’attendrai que tu rentres
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Les souvenirs ne cessent de me hanter
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Ca fait si longtemps que j’attends que tu rentres mais
De ma mémoire tu disparais
Je t’attends comme si t’allais rentrer
Tu vas me manquer
Tu vas me manquer
Christophe Willem – Jacques a dit
Je suis un oiseau
Qui est tombé de haut
Je traîne ma peine
Une larme qui coule
J’ai dans la gorge une boule
Comme une pierre qui roule
Perdue l’innocence des jours
Passés dans la cour de l’école
Du bonheur, j’en ai pas
Y en a que pour Pierre et Paul
Jacques a dit : “Cours”
Jacques a dit : “Vole”
Mais pas le jour où je décolle
Jacques a dit : “Cours”
Jacques a dit : “Aime”
J’ai beau t’aimer, tu pars quand même
Jacques a dit : “Marche”
Jacques a dit : “Rêve”
Me fait tant marcher que j’en crève
Jacques a dit : “Certes, je lui pardonne”
Jacques est un rêve, pas un homme
Reste
Une mélancolie cachée
Sous mon manteau de pluie
Qui traîne encore
Je ne sens plus le vent dans mes voiles
Dis-moi à quoi me sert mon étoile
Si je perds le Nord ?
Mes îles, je les ai méritées
Mes ailes, je les ai pas volées
J’ai tout fait comme tu m’as dit
Mais le rêve s’évanouit
Jacques a dit : “Cours”
Jacques a dit : “Vole”
Mais pas le jour où je décolle
Jacques a dit : “Cours”
Jacques a dit : “Aime”
J’ai beau t’aimer, tu pars quand même
Jacques a dit : “Marche”
Jacques a dit : “Rêve”
Me fait tant marcher que j’en crève
Jacques a dit, certes, des tas de choses
Mais sur la vie, pas toutes roses
Jacques ne dit pas tout
Jacques ne dit mot
Jacques ne sait pas ce qu’on vit
Jacques ne sait pas que c’est tout gris
Jacques a dit : “Cours”
Jacques a dit : “Aime”
J’ai beau t’aimer, tu pars quand même
Jacques ne sait rien de la vie
Jacques a dit : “Marche”
Jacques a dit : “Rêve”
Me fait tant marcher que j’en crève
La vie, c’est tout gris
Jacques a dit : “Bois”
Jacques a dit : “Mange”
Moi j’ai grandi, mais rien ne change
Jacques a dit : “Vague”
Jacques a dit :”S’cours”
Mais ne connais rien à l’amour
Jacques a dit : “Chante, si tu le peux”
Moi je déchante peu à peu
Jacques a dit : “Certes, je lui pardonne”
Jacques est un rêve, pas un homme.
Rose – Ciao Bella
Au dessus de mon frond
Ou il tire la ficelle
De mes reves et mes demons
Se font toujours la belle
De large des grands frond et jusqu’après la terre
Hum hum
Je les sens ainsi font les yeux de mon grand père
Hum hum
Ciao bella
Les autres ont s’en fou
Ciao bella
Les autres c’est pas nous
Ciao bella
Tu manques à ma vie
Ciao bella
Jamais je n’oublie ta voix
Au delà des étoiles
Des rives du bon dieu
Et sur sa jolie toile
Il tisse tous mes voeux
Au détour d’un chagrin
à l’angle de mes larmes
Il se fraie un chemin et défait tout mes drames
Ciao bella
Les autres ont s’en fou
Ciao bella
Les autres c’est pas nous
Ciao bella
Tu manques à ma vie
Ciao bella
Jamais je n’oublie ta voix
Ciao bella
Les autres on s’en fou
Ciao bella
Les autres c’est pas nous
Ciao bella
Tu manques à ma vie
Ciao bella
Jamais je n’oubli ta voix
Kendji Girac – Les yeux de la mama
Quand j’ai froid
Elle se fait lumière
Comme un soleil dans l’existence
Quand j’ai mal elle se fait prière
Elle me dit tout dans un silence
Quand je souffre
Elle souffre avec moi
Quand je ris, elle rit aux éclats
Mes chansons sont souvent pour elle
Elle sera toujours ma merveille
Quand je n’suis pas à la hauteur
Elle m’élève plus haut que le ciel
Elle est la splendeur des splendeurs
Elle est la sève, elle est le miel
C’est son sang qui coule dans mes veines
Et des souvenirs par centaines
Bercent mon cœur de mille étoiles
Elle est ma quête, elle est mon graal
Oh mon Dieu laissez-les moi
Les beaux yeux de la mamma
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Quand je me blesse elle est douceur
Comme une caresse dans l’existence
Quand j’abandonne
Elle devient lionne
Et me relève avec patience
Quand j’ai la folie des grandeurs
Elle me ramène sans me faire mal
Elle est dans ce monde infernal
Mon étoile parmi les étoiles
Oh mon Dieu laissez-les moi
Les beaux yeux de la mamma
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Quand je me blesse elle est douceur
Comme une caresse dans l’existence
Quand j’abandonne
Elle devient lionne
Et me relève avec patience
Quand j’ai la folie des grandeurs
Elle me ramène sans me faire mal
Elle est dans ce monde infernal
Mon étoile parmi les étoiles
Les beaux yeux de la mamma
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Quand je me blesse elle est douceur
Comme une caresse dans l’existence
Quand j’abandonne
Elle devient lionne
Et me relève avec patience
Quand j’ai la folie des grandeurs
Elle me ramène sans me faire mal
Elle est dans ce monde infernal
>> À lire également : Textes et lettre de condoléances :88 formules inspirantes et 8 modèles de cartes gratuites<<
ces chansons me font comprendre qui faut laisser partir la personne en paix garder les souvenirs, mais c’est très dur, j ai beaucoup pleuré j’en avais besoin une chanson qui symbolise ma douleur c’est puisque tu pars de jean jacques golman. merci
“Ma fan, ma groupie”, un très beau texte de Georges Chelon (lequel est, à mes yeux un autre “grand Georges”.
Un bel hommage à sa maman.
Et puis Linda Lemay “Une mère”; émouvante évocation d’une vie toute simple, entièrement consacrée à ses enfants.
Merci pour cette belle sélection. Une page à faire connaître , pour tous ceux qui cherchent des paroles de réconfort face au deuil.
Noëlle
L’album de Pascal Obispo qui vient de sortir m’a immédiatement parlé. Il s’appelle le grand amour. Voici mes deux chansons préférées que j’ai aussi posté sur le forum
http://forumdeuil.comemo.org/index.php/topic,1213.0.html
D’un Ave Maria Le clip est déchirant
Quand toutes les passions viennent à s’éteindre trop tôt
Et que d’une chanson on en retient qu’un mot
Si je ne sais pas où je vais
Je sais ce que je laisserai
Quand tous les amours viennent à manquer de temps
Et que partout on court sans regarder devant
Malgré ce que l’on veut retenir
Il faut quand même partir
Tous les Ave Maria
Viennent bien assez tôt
Cet Ave Maria
Sera mon cadeau
Tous les Ave Maria
Arrivent tôt ou tard
Cet Ave Maria
Sonnera mon départ
Quand j’aurai fini d’imaginer demain
Et que j’aurai tout pris ou repoussé trop loin
Je ne sauverai aucun regret
De ce que j’ai ou pas fait
Même sila raison fait s’arrêter à temps
Il n’y a pas d’addition qu’on doive payer avant
Qu’on me laisse le choix de choisir
Et la façon de finir
Tous les Ave Maria
Viennent bien assez tôt
Cet Ave Maria
Sera mon cadeau
Tous les Ave Maria
Arrivent tôt ou tard
Cet Ave Maria
Sonnera mon départ
Quand toutes les passions viennent à s’éteindre trop tôt
Et que d’une chanson on en retient qu’un mot
Si je ne sais pas où je vais
Je sais ce que je laisserai
Ce que je laisserai
http://www.pascalobispo.com/news/pascal-obispo-clip-dun-ave-maria
Arigatô
Pascal Obispo a écrit cette chanson pour son ami japonais. C’est le mot qu’a prononcé sa femme, avant de mourir. Arigatô veut dire Merci
Je t’ai vu me quitter des yeux
Pour d’autres ailleurs, vers d’autres cieux
On y parle d’endroits merveilleux
Merveilleux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour nous dire si c’est vrai ou pas
Tu aurais pu me dire « Adieu»
Tenir ma main encore un peu
Même si là-bas on y est mieux
On y est mieux
Mais personne n’est revenu encore
De cet autre côté du décor
Arigatô
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
Je t’ai vu t’en aller heureux
Pour un voyage vers le grand bleu
Qui ne se fait jamais à deux
Jamais à deux
Mais personne n’est revenu déjà
Pour dire qu’on vous attend là-bas
Arigatô
Mon amour…. A bientôt…
Mon amour…
S’il fallait entre nous un mot
Qui soit comme un dernier cadeau
Avant de fermer les rideaux
Mon amour…. Mon amour…. Mon amour… Mon amour…
A bientôt
Arigatô
Mon amour…. Mon amour… A bientôt
Arigatô
http://www.youtube.com/watch?v=93rbpDK1A70
Pour moi qui vient de perdre mon grand amour de ma vie
J’ai 2 chansons qui me touchent beaucoup:
Les murs porteurs de Florent Pagny c’est une chanson qui je dédicace à mes amis qui sont présents auprès de moi et de mes enfants.
Ave Maria de Pascal Obispo, sa chanson est très touchante et me fait beeaucoup pleurer
Merci pour votre site
Rachel
je me retrouve tellement dans votre commentaire…
Il y a également la chanson “Pas de mot” de Lynda Lemay pour dire qu’il n’y a pas de mot pour une personne qui perd son enfant. Très très beau texte
Sa me fait penser a maman qui est décéder le 14.12.13
Je n’est que 14ans et elle me manque terriblement.
chere demoiselle je suis extremement touchè par votre message non seulement pour le decè de votre maman et du fait tu que a seulement 14ans beaucoups de courage petite marie ta maman te protege
Ma maman est morte aussi j’avais dis ans . Sa fait 8 ans et elle me manque aussi …
J’ai perdu. Un ami, très cher j’aimerai dire quelque mots demain. Ason enterrement Il aimait reggiani ‘ Ferrât.et les autres Les beaux textes Qui ne me son pas très familier. Si parmi vous quelqu un peu m aider Merci
Dans ces moments là, nous n’arrivons pas a trouver les mots pour parler de notre douleur interieure, et ces chansons permettent d’en dire quelque chose.
J’ai perdu il y a maintenant 3 ans ma petite soeur qui avait 18 ans et de trouver des chansons qui évoque ma souffrance me soulage un petit peu ( tout est relatif) dans cet même optique il y a la chanson “ta main” de Gregoire, “En attendant la fin” de M pokora et “Charly” de Christophe Maé.
et comment avez vous, fait? j’ai perdu mon frere il y a peu et je ne vois pas comment on peut faire face…. je ne vois pas comment on peut supporter ca…
Bonsoir Simon,
Moi j’ai perdu mon compagnon fin janvier; je n’arrive pas non plus à m’en remettre
j ai perdu mon homme il y a 1 ans il me laisse avec nos 3 filles 4ans et demi et les jumelles de 2ans et demi …un an apres j ai toujours pas repris le dessus c est trop dure il npous manque tellement …un jour on le rejoindra ….
A ceux qui vivent ce grand vide.
Le 29 Octobre 2015 à 7h30, j’ai eu mon mari au téléphone ; il était en déplacement comme toutes les semaines.
On devait se retrouver le soir, comme tous les jeudi.
A 8 heures, un coup de fil m’a annoncé le drame ………..
Je n’arrive pas à surmonter cet immense vide ; son épaule me manque tellement
Je proposerai également :
Quand on a que l’amour de Jacques Bref
Dernier Sourire de Mylène Farmer
Moi qui ai perdu ma mere en mars 2012 et mon père en juillet 2014 j apprecie particulièrement my immortals d evanescence, le clip est beau aussi. Dommage c’est en anglais…pour ceux qui ne le comprenne pas.
Courage à tous.
J’ai perdu mon petit ami en juillet 2013, il est décédé d’un accident de la route alors que son père conduisait. Pris en “sandwich” entre deux camions. La chanson “putain de camion” de Renaud me parle tellement…
En chanson sur un être aimé décédé je propose “Alter Ego” de Jean Louis Aubert et “Dark Paradise” de Lana del rey qui retranscrit parfaitement le sentiment de désespoir qu’on peux avoir
J’ai perdu mon père il y a 11 ans, pour moi les plus belles chansons hommage sont en anglais : “Hurt” de Christina Aguilera et “Papa can you hear me” de Barbra Streisand. Les paroles de ces deux chansons me vont droit au coeur…
Je viens de perdre la personne que je considérai comme mon deuxième papa .. Un être qui m’était tellement cher .. Et qui nous a quitté le 6 janvier 2015 .. Cela fait maintenant 3 mois, et tombé sur cette chanson de Grand Corp Malade m’a fait totalement pleuré .. Merci beaucoup, cette chanson est maintenant ancré en moi. Courage à tout le monde.
Autres artistes, titres connus ou moins connus :
– “Un enfant ne doit pas mourir” de Mannick
– “Un an déjà que tu reposes” de Mannick
– “La mamma” interprétée par Dalida
– “Plus là” de Frédéric Lerner
Bonjour,
Je cherche désespérément les paroles de Mannick Un enfant ne doit pas mourir…est-ce que tu pourrais me les envoyer ou me dire ou trouver…
Merci!
Ne publiaient pas mon nom entier mais mes initiales s’il vous plait.
Tu aurai pu vivre encore un peu est de Jean FERRAT
Sur le deuil de la personne aimée :
– “Redonne-moi” de Mylène Farmer
– “Mon Dieu” de Edith Piaf
– “Le mal de toi” de François Feldman
– “Ca” de Zazie
– “Ta main” de Grégoire
Sur le deuil suite à une maladie :
– “Dernier sourire” de Mylène Farmer
Mon amie la rose de Françoise Hardy était la chanson préférée de ma grand-mère. Nous l’avons mise à ses obsèques (103 ans). Les paroles sont tellement vraies…
On est bien peu de choses
Et mon amie la rose est morte ce matin
La lune cette nuit, a veillé mon amie
Moi en rêve j’ai vu, éblouissante et nu
Son âme qui dansait
Bien-au delà du nu
Et qui me souriait
Croit celui qui peut croire
Moi j’ai besoin d’espoir
Sinon je ne suis rien
Je recherche une chanson que j’ai entendu a des obsèques d’un mari a sa femme .j’ai retenue les paroles suivante “si tu sent un souffle dans ton cou , c’est moi qui suit derrière toi
” je pensait que c’était de michel Sardou mais j’ai fait toutes sa discographie et je n’ai pas trouver.
Peut-etre s’agit-il de la chanson de Sardou “Une lettre à ma femme ”
“Si tu pars avant moi , promets moi par un signe de me dire ou tu vas…..
Un frisson dans un reve , tu sauras que c’est moi ……”
Cette chanson est magnifique .
Mon frère unique est décédé brusquement en aout 2013. Il nous a laissé dans l’effroi. Qui souffrent le plus mes parents, moi , sa femme , son petit garçon agé de 8 ans à l’époque et qui a vu son père décéder à ses pied (crise cardiaque)? Un enfant vit les choses de façon différente. Nous faisons tout pour l’aider. Sa maman a un force extraordinaire. Elle se force à sortir , à rire , à vivre. Par contre ma maman a mal vécu cela et ne comprenait pas la raison de continuer. Elle nous a quitté en juin 2015. A peine , les souffrances de la perte de mon frère s’atténuaient , qu’il a fallu revivre un deuil…Ma mère était tout pour moi.
Les paroles et la voix de grand corps malade m’ont touchées. Je retourne l’écouter quand j’en ressents le besoin.
Les absents souhaiteraient que l’on continue à vivre et d’années en années il y en a plus en plus . Je n’ai pas d’enfants et parfois je me dis tant mieux car pourquoi tant de peine et de douleurs. Profitons de la vie , moi je me ressource dans les voyages avec mon chéri qui me soutient du mieux qu’il peut!
Les gens absents,Francis Cabrel.
Elle est sublime.
Bonjour à tous,
Maman de 3 enfants de 8, 5 et 3 ans et veuve depuis septembre 2014. On avait tout pour être heureux!!! Plein de projets… Notre monde s’est écroulé en fraction de minutes! Mon époux a fait un arrêt cardiaque foudroyant, juste 2 jours avant les 2 ans de notre dernière fille!
La chanson de Maître Gims “tu vas me manquer” résume bien notre vie à 4. On dirait qu’elle est écrite pour nous.
Il ne se passe pas une journée où on ne pense pas à lui. 😢😢😢
La chanson de Michel SARDOU “les yeux de mon père” me rappelle chaque fois mon grand-père.
ton absence d’yves duteil
decès d’une mère qui part retrouvé deux filles décédées d’un accident de voiture et laissant deux autres filles jumelles nées après cet accident, pour les réconfortées que leur dire ?
Bonjour Laurent,
Voici un article et une vidéo sur la posture à adopter pour apporter un vrai soutien à une personne en deuil : http://deuil.comemo.org/eviter-maladresses-presenter-condoleances
J’espère que cela vous aidera dans votre accompagnement.
Chaleureusement,
Bjr à tous
Moi j’ai perdu mon beau frère le 28 juin 2016
Mon petit fils le 14 juillet 2016
Ma soeur le 24 juillet 2016
Sur même pas un mois j’ai perdu trois membre de ma famille proches
Il y a bcp de chanson qui me font pleure et en même temps qu’il faut quand même que j’écoute j’en ai besoin
Bar
Moi j’ai perdu mon beau frère le 28 juin 2016
Mon petit fils le 14 juillet 2016
Et ma soeur lex24 juillet 2016
Trois membre de ma famille en même pas 1 mois
Je suis anéantie il me faut des chansons et de la musique pour mes moment de blues
Bonjour B R,
N’hésitez pas à venir partager votre témoignage sur le forum : http://forumdeuil.comemo.org/
Vous y trouverez un soutien pour traverser vos épreuves difficiles,
A très bientôt,
Chaleureusement,
Bonjour j’ai perdu ma grand mère le 5.5.17 je n’arrive pas à passer le cap j’habite en face de chez elle tous les jours je vais travailler et je vois ses fenêtres désormais sans rideaux j’écoute en boucle la chanson ~ les roses blanches ~ de Berthe Sylva cet la chanson qui était à ses funérailles c’était aussi ses fleurs préférées je ne sais pas me dire qu’elle n’est plus la c’est un bel âge 88 ans mais je n’y arrive pas.
Puisque tu pars de Jean Jacques Goldman.
Tu es partis d’Amel Bent.
Roule de Soprano (chanson sur le cancer)
et la plus belle de toute pour moi soit tranquille d’Emmanuel Moire.
Emilie Simon a écrit en 2012 un album entier dédié à son fiancé brusquement disparu. Bel Amour est un des titres de l’album.
https://www.youtube.com/watch?v=b0bbTaVwlQw
BEL AMOUR
Si je pouvais bâtir,
un soleil, un empire
pour toi,
sans hésiter
cent mille fois,
je le ferais
Si je pouvais tout changer
et si je pouvais braver
la mort, j’irais te chercher
plus jamais je ne te quitterais
Si les lueurs du matin
pouvaient ramener tes mains,
ton corps et ta chaleur,
mon amour
non, je n’aurais plus peur
Quand je ferme les paupières
j’entends ta voix et j’espère
pouvoir enfin, retrouver
mon bel amour pour l’éternité
Bonjour tous ,
J’ai perdu mon papa il y a 3 ans maintenant , 3 jours après mes 27 ans , il était mon héros , une partie de moi est partie avec lui. J’ai beaucoup de mal à évoquer ma douleur , le plus souvent je la garde pour moi , car je ne suis pas la seule à souffrir , ma mère et ma soeur aussi ont mal alors je reste forte … pour elles .
Une chanson qui m’aide beaucoup c’est parler à mon père de Céline Dion
Courage à vous tous
je viens de perdre mon mari, accidentellement et la chanson que j’ai choisie est de grand corps malade nos absents aussi pour mon petit fils qui nous a quitter il y a 3 ans et mon frère il y 8 ans et après 38 ans de mariage ,passage difficile mais il faut tenir pour les enfants et petits enfants le chagrin ne s’estompe pas.
ya aussi ou s’en vont (fugain)…..oui le paradis blanc, puisque tu pars…..ya peu de chansons sur le sujet…………..comme celle sur les sans abris
Ecoutez “montez la haut” de saez
Une mère de Linda Lemay.
Maman de Louane
Si t’était la de Louane.
Je roule de Soprano
Puisque tu part de Jean- Jaques Goldman.
Mon ange de Nolwen Leroy.
“Roule” de Soprano est magnifique également
j’ai perdue ma maman ce 30juillet c’était une femme forte, d’une gentillesse à aider tout le monde,la joie de vivre, pourtant soit disant guérie de son “petit infractus totalement anodin” ce sont les mots du docteur de l’hopital alors que ce n’est jamais anodin le jour de sa sortie elle est décédée 2h avant de sortir soit 19 jours avant mon MARIAGE ….
nous avons mis a son enterrement
-Une mere de linda lemay
trés belle chanson trés dur a entendre car c’était tout notre mére même la façon dont on nous la enlever si brutalement
J’ai perdu mon fils de 4 ans et le pire est qu’il aimait trop la chanson de maître Gims intitulé : Tu vas me manquer.