Lorsqu’un être cher perd la vie, on peut avoir le sentiment qu’une part de nous s’en va avec lui.
Et si nous ne sommes plus certains de ce que nous devenons, de ce qui nous arrive dans nos têtes, nos corps et nos cœurs, il est encore plus difficile de comprendre ce qu’il se passe en nous et en dehors. La question du deuil pathologique se pose alors.
Vous pouvez avoir le sentiment naturel d’être votre propre étranger. Des choses que vous faisiez jusque là sans y porter attention demandent à présent un effort considérable. Pour certains, au contraire, le deuil provoque un état de quasi parfaite homéostasie. Comme une machine, le corps accompli des tâches de façon automatique repoussant ainsi l’expression de ses émotions.
Et vient un jour. Ce jour où la machine s’arrête et où les larmes coulent à flot. On peut même se surprendre à les attendre quand elles ne viennent pas avec cette question qui revient sans cesse : « Suis-je normal? ».
Qu’est ce qu’un deuil pathologique ?
Hélène Romano, dans l’entretien que je vous propose de visionner s’adresse justement à cette forme de deuil « différé ». Elle nous explique comment l’esprit peut se mettre en berne afin de pouvoir s’attarder sur de lourdes tâches administratives, par exemple, notamment dans les décès violents. Elle aborde également les questions du deuil « pathologique », du deuil « inhibé » ou encore du deuil « compliqué ».
Vous traversez un deuil compliqué ?
Peut-être que, vous aussi, vous vous demandez où est-ce que vous en êtes dans votre chemin de deuil sans avoir l’oreille bienveillante de quelqu’un prêt à vous écouter. Peut-être, simplement, avez vous besoin de faire un point nécessaire avec un spécialiste afin de réapprendre à vous connaître pour intérioriser la relation que vous avez avec votre défunt.
Si tel est votre sentiment ou bien que vous en ressentez le besoin, sachez que je suis là pour vous et que vous pouvez dès à présent réserver une séance téléphonique pour un bilan personnalisé, gratuit.
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J’ai confiance en votre capacité à mobiliser toutes vos ressources, j’espère qu’elles vous aident également à prendre soin de vous. Toujours.
