Le forum deuil pour se soutenir mutuellement

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  • très contente d’avoir regardé la video de christophe fauré,ça m’a permis de comprendre un peu mieux le deuil, c’est un docteurqui est très humain et qui explique très bien.merci de tout cœur

    madame frere

  • je participe au programme afin de mieux comprendre ce que je vis au quotidien, d’abord la vidéo et le livre que j’ai lu pratiquement d’une traite, ce medecin a une telle approche de ce passage si douloureux dans notre vie que j’ai dédicacé mon livre (son livre) car je pense qu’il est très compétent et efficace dans son domaine mais comment décrire si bien tt ce mal être et redonner tant d’espoir seul peut le faire, quelqu’un qui a une très grande expérience professionnellle et peut-être (aussi) a eu ce vécu. MERCI POUR CETTE AIDE.
    Micheline Duval

    • Non.. pas facile mimi… mon conjoint est décédé le 17 décembre.. crémation le 24 décembre au matin.. ce vide qui n´appartient qu´à moi .. cette envie de mourir ..

  • cela fait maintenant 2 ans et demi que j ai perdu mon mari et meme si je m efforce d avancer, je revis encore le jour de son deces comme si c etait hier .pas tous les jours bien sur mais a chaque fois qu il se passe ,quelque chose de triste dans ma vie comme la mort de mon petit chien,il y a de cela 2 semaines.c etait avant tout le sien et je suis a nouveau avec ce poids du deuil qui me transperce le coeur,l impression que ma souffrance ne finira jamais.j ai alors tellement envie de mourrir moi aussi,ne plus avoir mal a ce point .mais j ai 4 enfants et 9 petits enfants ,je les aiment de tout mon coeur,mais quand je suis seule chez moi je me dis que ma vie n a plus de sens .je sais que c est egoiste envers eux mais,ma douleur prends le dessus meme si je pense que jamais je ne passerais a l .acte c est comme si j en appelais a la maladie pour en finir.cela peu paraitre injuste a ceux qui sont reellement malade et je leurs en demande pardon mais ,c est pour moi une facon de me debarasser de ce mal qui me ronge .merci de m avoir laisser exprimer cette souffrance sans me juger .

    • Je vis exactement la même chose que vous. J’en viens effectivement à souhaiter une maladie pour ne pas passer à l’acte. C’est horrible de penser ça, j’en suis désolée moi aussi pour les gens qui sont malades.

    • Bonjour,
      Je suis psychologue en Belgique. J’ai vécu de nombreux deuils depuis mes 28 ans… Je me suis spécialisée dans l’accompagnement du deuil Je suis en lien avec le Dr FAURE…
      Je conseille vivement à toues les personnes endeuillées de trouver un psychologue formé à l’EMDR surtout pour tous les souvenirs intrusifs, les cauchemars, les idées suicidaires…et qutres lors de décès de proche. Vous trouverez des listes de praticiens dans votre région, en allant sur EMDR -France …ou Emdr BElgique..ou EMDR Suisse…
      Je ne peux que conseiller cette démarche étant moi-même superviseur de Thérapeutes en EMDR…
      Je suis de tout coeur avec toutes les personnes endeuillées et leur apporte mon soutien de pensée et de coeur…Soyez patient, prenez soin de vous, et avancez lentement vers la résolution de votre deuil , vers la reconstruction de votre VIE. Avec le temps et l’investissement que vous dans lequel vous vous engagerez dans votre travail de deuil….Un , jour vous renaîtrez de vos cendres…
      COURAGE ! Soyez dans la GRATITUDE de trouver autour de vous des aides, des soutiens, des associations, des bénévoles, des lieux de partages entre autre ce forum…
      Nora o’HAN Belgique

      • bonjour,
        mon conjoint est décédé il y a 14 mois, et je vais de pire en pire.. Je viens de commencer une thérapie EMDR. Après deux séances j’ai le sommeil plus paisible mais je vais très mal la journée. Je suis carrément retombée dans la dépression. Ma praticienne me dit que cela est normal… Des témoignages dans ce sens? D’avance merci. Lily

    • je ressens la même chose. On a beau dire que je dois aller de l’avant, je n’y arrive pas. je m’appelle Livia, et mon époux s’est suicidé il y a 2 ans. J’ai vécu la 1ère année pas trop difficilement je dois dire car mes enfants étaient là. Puis j’ai voulu leur laisser quelque chose pour plus tard et suis partie acheter une maison pas chère à 40km d’où nous vivions. Ils ont aujourd’hui 22, 24 et 26 ans. Ils n’ont pas voulu suivre disant qu’ils étaient trop loin de leurs racines. Ils avaient raison. Car moi aussi, j’ai vécu cet éloignement de racines et je viens de revendre (on passe le compromis mardi). Entre-temps, ma fille a trouvé la possibilité de suivre un master en alternance à Lyon, là où était pari son copain en stage. Lui, on lui a proposé un CDI. Je suis en attendant je ne sais quoi chez mes fils. Le départ de ma fille m’affecte beaucoup et je pense souvent à mourir. J’ai l’impression que personne ne comprend cette souffrance de me séparer de mes enfants en plus alors que c’est la vie.

  • Simplement pour vous temoigner le plaisir que j’ ai à vous lire de nouveau. Bientôt 3 ans que Martine est partie, j’ ai pu profiter alors de votre site et celà m’ a fait beaucoup de bien … Merci.

  • j’éprouve les même sentiments que Josiane .C’est difficile d’émerger de cette souffrance.je prie Dieu de cœur à cœur.parfois je ressens la présence de mon mari en moi. courage!

    • Mon frère chéri s est tue accidentellement avec sa compagne en juillet 2015 , je le voyais presque tous les jours. Il était mon confident on partageait tellement de chose. Depuis je me sens abandonnée malgré mes 3 enfants qui sont gentils avec moi. J aimerais correspondre avec quelqu un traversant la même souffrance que moi…

  • bonjour;

    Voila bientôt 4 ans en avril de cette année que j ai perdu mon mari, ( un cancer ) ..Depuis il s en ai passé des choses par la force du temps j ai du avancé continuer a vivre pour moi puis mes 5 enfants .. j ai cherché a me faire suivre mais bien sur il faut tout payé !!! du coup j ai laisser tomber …a mon tour pour je ne sais pour quelle raison je suis dans un combat ( cancer ) … je pense que sa doit être du au chagrin cette façon de ne pas être suivie puis écouter … alors que je ne suis jamais tomber malade auparavant ….MAINTENANT on me propose un psy il est temps il est même trop tard ; puisque le mal est la …bien sure me bat , je vais bien , mes résultats sont encourageant … alors si vous êtes autant dans le chagrin que je l ai était .taper du poing sur la table que l on sois reconnus écouter …MERCI

    • bonjour laurette
      je comprends parfaitement votre situation , pour la vivre moi même. …
      Avec une ordonnance d’ un médecin généraliste , votre suivi psychiatrique qui est un lieu d ‘ écoute et de partage sera pris en charge par la SS plus mutuelle, à condition de choisir un médecin Conventionné. coût de la consultation 43,70€ par contre il est très important de trouver la personne avec qui le courant passe et changer si nécessaire … cette écoute est d une grande aide .et permet d avancer sur son chemin … courage
      monik

  • Bonjour à tous!
    J’ai un ami qui vient de perdre son fils ainé de 7 ans dans un accident de voiture en rentrant d’une sortie récréative organisée par son établissement scolaire. Le problème avec mon ami, c’est qu’il veut à tout prix venger le mort de son fils, car le conducteur est en vie! Depuis vendredi 29 avril jusqu’à maintenant, il lui est vraiment difficile de ne pas parler de son fils et ce qui me brise le coeur c’est que maintenant il ne pense pas trop à ses deux filles (il en a deux, une fillette de 4 ans et une autre qui a à peine 13 mois).
    J’ai besoin de votre aide pour l’aider car ca me fait mal au coeur de le voir dans l’état où il se trouve actuellement.
    Merci d’avance pour vos réponses et soutiens…

  • Voici 4 ans que mon fils de 27 ans s est suicidé, sans que nous n’ayions rien vu venir… C’est moi qui l’ai découvert, et chaque jour, il me faut combattre cette image insoutenable de mon petit garçon sans vie, allongé au pied de son lit, face au ciel.
    Depuis, je suis écrasée de fatigue, ai mal partout et n’ai aucune énergie. Chaque journée qui s’annonce est un véritable obstacle à franchir. Pourtant, j’ai une belle famille aimante et présente : des petits enfants adorables… et plein de vie. Mais une part de moi s’en est allée avec notre fils, c’est plus fort que moi…. je ne peux plus goûter au bonheur comme avant.

  • Bonjour,

    Je vous remercie de tout coeur pour le programme « Vivre son deuil » que je suis depuis un an. Il a atténué ma peine en inscrivant des mots sur les émotions de colère, de peur, de tristesse qui m’ont envahi sans que je comprenne ce qui m’arrivait vraiment. Je voulais porter plainte contre la terre entière depuis le décès de mon père. Pourtant je suis une personne calme et sociable, mais sans savoir pourquoi, je me suis repliée sur moi-même, je pleurais tous les jours, j’ai arrêté mes activités professionnelles, j’ai perdu le goût de voir mes amis, je me fâchais rapidement…et tout ceci sans comprendre ce qui se passait pour moi… C’est pourquoi, de lire vos petits textes et citations remplis de bienveillance et de chaleur humaine, et de regarder les vidéos de la psychologue, ce fut véritablement une main tendue qui m’a permis progressivement de me relever.
    Mon papa est décédé il y a un an, et c’est un grand vide. On s’aimait énormément, et depuis son décès je me sens comme perdue sur terre…J’ai commencé à me sentir mieux qd j’ai réalisé que peut-être je ne me remettrais jamais de son départ et qu’il fallait que j’apprenne à vivre avec.
    Et puis, j’ai réappris à être joyeuse, en me souvenant que c’est ainsi qu’il aimait me voir, et que plus je serai joyeuse et heureuse et plus on serait proche.
    Merci pour votre soutien, merci pour tout le bien que vous faites aux gens,

  • Bonjour,

    Il y a 7 mois une amie à moi du nom d’Alexia c’est fais poignardée dans son lycée ( elle avait 15 ans ) car elle refusé les avances d’un gars… Cela avait enflammé les médias… Depuis c’est comme si tous c’était effondré, je pleure pratiquement tout les soirs, quand je suis heureuse je m’en veux car elle n’est plus là, je n’arrive toujours pas à réalisé… Celui qui lui a fait ça est rester près de 3 mois l’aire de rien, et est même venu a la marche blanche ainsi qu’à son enterrement… Elle me manque tellement …

  • Bonsoir,

    Je tiens à temoigner le bienfait que m’a produit le suivi des videos et lecture du programme .
    cela m’a aidé à comprendre admettre et rebondir après le deces subit de mon mari (cancer mais la maladie a progressé en 12h),
    Le grand vide, le desarroi, la colère toutes les étapes y sont passées.

  • Ma fille cadette de 37 ans est décédée seule dans son appartement et n’a été retrouvée que 3 jours plus tard. Je viens juste d’avoir le résultat de l’autopsie soit 4 mois après – Je ne cesse de pleurer et je n’arrive pas à accepter sa mort et surtout le fait que je n’étais pas à ses cotés. Je me fais tant de reproches – Je sentais que cà n’allait pas mais je suis si fatiguée (cancer) que je n’ai pas pris la peine de faire 500 kms pour la voir. Elle devait venir quelques jours plus tard mais malheureusement elle est morte avant.
    Je suis révoltée car c’était à moi de partir et certainement pas à elle. Dieu me punit trop durement et j’en perds ma foi. Cette douleur cessera t’elle un jour ? Je ne fais que penser à elle revivre des moments de nos vies. Je voudrais tant savoir si maintenant elle est apaisée ou elle est je voudrais tant qu elle me parle

  • Bonjour,
    J’ai perdu mon petit frère âgé de seulement 35 ans il y a à peine 5 mois.
    Il nous a quitté subitement, du jour au lendemain malgré une très grave maladie à laquelle on nous avait préparé au pire l’année précédente, maladie à laquelle il a survécu et est même devenu un miraculé aux yeux de tous, y compris du corps médical.
    Si au début, je pensais m’être préparé à son départ puisque j’avais le sentiment de le vivre pas trop mal je vais dire, je dois avouer qu’aujourd’hui et chaque jour qui passe deviennent de plus en plus difficiles.
    J’ai un manque, une absence énorme et je suis obsédée par la mort. J’ai tellement peur qu’il se sente seul vu qu’il avait l’habitude de m’appeler quand ça n’allait pas, qu’il ne soit pas bien, qu’il ne soit pas heureux.
    Je cherche des signes de lui en permanence.
    Je vais sur tous les sites possibles et inimaginables pour répondre à mes questions sur l’au-delà (pour me rassurer très certainement).
    Je n’ai que 38 ans (je vis seule et sans enfant, ça n’aide pas non plus…) et pourtant, je m’isole de plus en plus. J’ai repris mon travail qui me permet une vie sociale mais hormis aller voir mes parents, ce sont les seules sorties que je fais.
    Je réponds à peine à mes amis qui ne me reconnaissent plus, moi qui étais une bonne vivante, aimant toujours faire la fête et m’amuser.
    Je me sens comme amputée, j’ai perdu quelque chose en moi et surtout le goût de vivre.
    Peut être auriez-vous des conseils, des mots de réconfort, un partage d’expérience. Bref, tout et n’importe quoi qui permette de se relever et avancer…
    Merci à vous.

  • Bonjour a tous et toutes
    si je suis la aujourd’hui ces parce que j’ai perdue ma grand mère que j’aimais énormément ainsi que mon grand père disparue en 2009 .un rapport vraiment très fort ,beaucoup d’amour reçue et le partage de longues années de bonheur passez a leurs cote .et malgré que leurs ages de départ étaient  » normale » ma souffrance est très forte une grande partie de ma vie est partie ( la meilleur probablement )et ne reviendra jamais .
    Ils étaient le socle, le lien, les racines et l’histoire vivante de notre famille .
    Je ne peu qu’imaginée la souffrance de ceux qui ont perdu un enfant ou un conjoint ( j’ai perdue un petit cousin qui ses suicidez vers l’age de 35 ans une histoire compliquée et difficile …)

    Je pensais bien maîtrisez  » le sujet  » mais comme quoi ont apprend toute sa vie .
    je suis de tout cœur avec ceux qui sont dans la perte d’un être cher et aimé .
    voila juste besoin de le dire aujourd’hui et remercié ce site pour l’aide qu’ils nous apportent .

  • Bonjours a toute et à tous voila il y à 13 mois j ai perdu ma mère d une insuffisance cardiaque et 6 mois après c était mon mari d une cris cardiaques et j ai perdu mon père au mois de septembre d un cancer généralise je suis en arrêt de travail car cela a est trop dur pour moi a supporté je suis suivi par un specialiste ci quelle q un peu m aider merci

  • Bonjour à toute et à tous, mon tendre époux s’en est allé il y a 7 mois il a rejoint l’autre monde.
    On dit que la vie est un long fleuve tranquille, pour moi ma vie est un long fleuve rempli de larmes, de tristesse, de souffrance, de douleur, de peine et de tourment, voilà ce que je pense depuis le départ de mon tendre amour.
    j’ai été informé, du cancer de mon mari fin avril 2016, il est décédé en septembre 2016, son cancer c’était généralisé au moment du pronostic. Nous avons vécus ensemble 40 ans, son absence est un vrai déchirement, mon cœur saigne.
    Ma vie sans lui est fade, ma vie sans lui est pâle, ma vie sans lui est terne, ma vie sans lui est sans goût.
    Je suis une thérapie actuellement, mais votre site me permet de m’exprimer et cela fait du bien

    • bonjour je vous comprends mon mari est parti il y a un an d un anévrisme de l aorte brutalement et je souffre beaucoup de son absence quelle douleur c est très dure

    • Bonjour Oyampie,
      En lisant votre commentaire, je revis mon histoire, gd bonheur, annonce et brièveté de la fin d’une mort annoncée. Toute cette souffrance, ce trou dans lequel nous sommes aspires, ce vide de tout dans lequel nous vivons. 4ans et demi déjà mais j’avance dans ce chemin, non sans quelques retours en arrière de temps en temps mais qui sont bénéfiques, et me donnent la force de continuer ce parcours, vers cette résilience dont je sens peu à peu l’arrivée. Je suis convaincue de son soutien et aide, car nos défunts restent à nos côtés. Vous verrez plus tard le temps sait y faire. Il suffit de lui laisser, de nous laisser le temps, l’empressement, le qd dira t’on sont vraiment de véritables freins et perturbateurs à notre sérénité á venir. Prenez grand soin de vous, une petite image mais qui pourra, peut être vous aider. Vous êtes au sol mais évitez de poser les mains au sol, mettez les sur les cuisses car pour se relever cela peut s’avérer moins difficile. Sur ce, une bonne fin de journée, oui une bne fin de journée.

    • Bonsoir madame. Je viens de lire votre message. Mon mari est parti en 3 mois à partir du diagnostic d un cancer des poumon métastase sur un os de la hanche. 11 dec/11 mars. Je me retrouve seule. Mes enfants ne vivent plus à la maison. Une habite à 1 h 30 de route.jamais je n aurai imagine une telle souffrance. Son absence est horrible à vivre.il aurait eu 57 ans le 25 mars. 36 ans de mariage. Une vie de travail. Il aurait eu sa retraite à 60 ans. Nous avions pleins de projets. Et là tout s écroulé. Je vais lui parler tous les jours au cimetière. Je n ai pas la foi mais j ai toujours cru au destin.cela m aide un peu. Je suis allée consulter une psychotherapeute, cela me fait énormément de bien.il n y a pas de mode d emploi dans le deuil. Chacun réagi à sa manière. Fait ce qu il peut. Je vous douaire beaucoup de courage.

  • Bonsoir,

    J’ai perdu mon père il y a quelques mois…
    Plus le temps passe, plus mon état empire, j’ai l’impression de perdre la tête.
    Je ressens un énorme vide, rien n’atténue la souffrance, ni comble le manque.
    Je ne sais vraiment pas comment m’en sortir.
    À nous deux on formait une famille, maintenant je vis et je suis seule…
    Auriez-vous des conseils?

    Cordialement,

  • J’ai perdu ma mere il ya 5 mois aujourd’hui mais elle me manque bcp elle etait ma confidente,mon amie ma meretout quoi.Quand quelque chose m’arrive j’ai envie d’en parler avec elle mais elle est plus la c’est vraiment difficile.
    C’est deja difficile de m’occuper de mon pere qui est reste seul.
    J’espere qu’avec le temps ca va aller.

    • Bonsoir

      Je me permets de vous répondre car je me suis sentie évidement touchée ayant perdu moi aussi ma maman mais très jeune, je ai 47ans aujourd’hui. Si vous le souhaitez nous pouvons peut être échanger et se soutenir..?

      Bien à vous

      • J ai 16 ans et j ai perdu ma maman il y a quelque semaine c est très dur pour moi ayant eu une relation très fusionnel avec elle me manque tout les jours et la peine est insoutenable

  • Bonjour, je suis du Canada mais le virtuel n’a pas de distance. Je me lis et réalise que le virtuel ne peut entrer en contact avec mon conjoint décédé il y a de cela cinq ans. Décédé d’une crise de cœur, la seule et fatale, il était très sportif, ne buvait pas et ne fumait pas. A 57 ans, un an avant la retraite et trente cinq années de mariage, j’ai voulu mourir mais j’ai décidé de me prendre en main à cause de ños deux filles. Je me cherche encore, j’ai l’impression que la vie est longue et n’à pas toujours de sens. Je m’en suis faites de nouveaux ami(es) mais j’ai toujours ce mal de vivre. Je dirais que le temps et ce qu’on en fait est le seul remède. Malheureusement ce ne sont que de petites doses de temps dans le sablier de la vie qui s’écoule à tous les jours. J’essaie la Méditation, aussi, j’essaie de faire-taire mon égo, la petite voix qui me parle dans ma tête, j’essaie de lui dire que non la vie n’est pas plate, que Jacques me dirait de faire confiance en la vie, etc. etc. Je voudrais être toujours en mouvement, occupée pour oublier. Non ce n’est pas facile, mais le temps, seulement le temps m’aidera. Voilà mon observation de l’an journee. Bonne chance à tous et toutes.

    • Bonjour ,je vis comme je peux depuis le départ de ma mère en Octobre 2017 et le décès de mon maris 3 mois après, il y a des jours c’est une catastrophe, j’essaie de me dire que cette douleur insoutenable va finir par partir ,aussi pour tenter d’oublier cette peine immense je lis beaucoup, je me suis mise à la méditation également comme vous Diane, mon mari et ma mère étaient des êtres vraiment exceptionnels très positifs ,mon mari m’aurait dit . Oui c’est très dur ,j’essaie ,j’espère y arriver …Merci et courage à vous tous

  • J’ai 52 ans et je viens de perdre mon père. Il avait beaucoup maigri et rencontrait depuis quelques mois des difficultés respiratoires. Il était devenu faible mais sans diagnostic de maladie grave. Quand il était en réanimation j’ai pu lui parler. Il était intubé aussi j’ai souffert physiquement de fortes brûlures à l’oesophage et l’impression qu’il se retrécissait. Il est décédé d’un arrêt cardiorespiratoire et ses suites. Mon père était mon modèle. J’aimais sa discrétion et son respect pour moi et l amour qu il me donnait. Depuis ce début avril j ai mal au ventre. Une sensation de pression et parfois je tremble et j’ai froid sans raison. Je ne parviens pas à réaliser que je ne le reverrai plus. Mariée depuis 30 ans et maman ceci n enlève pas cette sensation particulière. Pourquoi est il parti ? Pourquoi alors qu il n était pas malade. Quelqu un a t il les mêmes symptômes physiques ? J ai parfois des moments d angoisse soudains puis ça passe. Mal au plexus et brûlures à l estomac et à l oesophage. Merci à tous de m’avoir lue et pour vos réponses

  • Le temps qui passe n’efface aucun souvenir. Au contraire, c’est toujours comme si le deuil avait eu lieu hier, bien que bientôt deux ans. Je me surprends d’oublier le temps de quelques minutes, jamais une heure par jour, que je suis une mère désormais seule à gérer mon chagrin, ainsi que celui de mes enfants, et tous les problèmes financiers, matériels, moraux et sociaux y relatifs. La vérité c’est que je me refuse d’oublier quoi que ce soit, parce que le défunt ne m’a procuré que du bonheur sur cette terre, je m accroche sur ces actes positifs et je survis. Notre Seigneur Jesus Christ que je sers en Vérité, supporte mes fragilités et me console.

  • Bonjour, tu me manque toujours au t’en ,sa fait deux ans que tu es partie, j’en toujours mal,es enfants ça va,mais moi j’ai toujours du mal,je sais que je pourrait jamais accepter, mais j’essaye de faire avec, j’ai perdu de la famille, je me retrouve seule, heureusement que j’ai mes enfants, et des amis,seigneur aidé moi a avoir moins mal, je sais que je suis toujours en deuil,je sans cette douleur à la poitrine,,voilà

  • Bonjour
    Je m’appelle Nathalie
    J’ai 52 ans et j’ai perdu l’homme de ma vie le 30/12/2019
    Il est parti en 6 mois d’une tumeur cérébrale
    Il était infirmier libéral tout comme moi et sa douleur fut d’autant plus grande qu’il savait à quoi s’en tenir…
    je pensais être prémunie de la douleur d’un proche moi qui a accompagné tant de famille dans une fin de vie d’un proche
    Je me suis découverte comme n’importe quelle personne face à la mort …. anéantie!
    Ni mon expérience professionnelle ni mon statut d’infirmière fut un recours.
    En juin 2019 mon mari présente des signes de fatigue
    En bonne infirmière je lui fais faire un bilan sanguin qui ne révèle rien d’anormal , bilan parfait !
    Tu vois me dit il tu t’inquiètes pour rien
    Sauf que fin juin apparaissent des troubles de la mémoire une fatigue intense à tel point que je n’arrivais plus à le réveiller des troubles locomoteurs…
    appel en urgence du médecin scanner et patatras… tumeur de la taille d’une pêche au cerveau !
    Et là tout s’écroule et tout s’enchaîne
    Hospitalisation biopsie radiothérapie chimiothérapie
    Et le corps qui se dégrade à la vitesse grand V
    Difficile pour nous deux aguerris… tous deux savions où il allait..
    je l’ai gardé le plus longtemps possible à la maison
    Je me suis occupée de lui tant que j’ai pu et puis un jour lui le soignant entre dans la peau de patient
    Les médecins m’ont dit de faire appel à une équipe d’infirmiers de garder mon rôle d’épouse et non de soignante…
    quel déchirement de ne plus pouvoir s’occidentaliser lui seule parce que devenu trop dépendant trop grabataire…
    Quelle souffrance de le voir ainsi perdre toute dignité parce que ne contrôlant plus ses sphincters..
    Il était fort fier intelligent ambitieux…
    il ne savait même plus se servir de la télécommande et s’ébahissait devant un dessin animé…
    Durant ces 6 mois de calvaire j’ai eu la double peine de le voir dépérir et de gérer la belle famille…. odieuse à mon égard
    Nous étions un couple mixe ou n’était jamais rentré la religion..
    À l’annonce de la maladie, bienveillante et avec son accord j’ai averti ses frères et sœurs
    Et là fut le début de la descente aux enfer pour moi
    jamais ils n’ont compris pourquoi je leur demandais de ne pas venir tous en même temps de respecter les horaires de repas de respecter son temps de repos…
    Je n’ai reçu en retour que mépris haine insultes et ignorance de leur part
    Par respect et par amour pour mon mari j’ai toujours ouvert la porte quelque soit l’heure malgré mes recommandations
    Ce fut pour nous deux extrêmement difficile car souvent les cris les insultes fusaient à mon égard devant lui agonisant et incapable de répondre pour qu’on respect sa femme
    Peu importe je ne vivais que pour lui
    J’ai passé mes jours mes nuit à ses côtés même lorsqu’il fut hospitalisé
    Je ne l’ai pas lâché…jusqu’à son dernier souffle..

    Aujourd’hui je me sens vidée amputée d’une partie de moi même aneantie
    Le vide sidéral et pesant s’est installé en lieu et place du temps et de l’amour que je lui ai donné !
    Je me sens inutile
    Je vais sans but
    Mes repères se sont envolés avec nos projets nos envies nos rêves nos désirs
    Nous avons deux fils 22 et 24 ans en qui j’ai découvert une maturité extraordinaire…
    moi qui les couvais sont aujourd’hui très prévenant à mon égard
    Mais je n’ose partager ma peine et ma rancoeur
    Mon ressentiment et ma colère sur les événements passés
    Je leur ai dit que la vie continue
    Que leur père l’aurait voulu ainsi…
    chacun de nous trois fait bonne figure vis à vis de l’autre
    Aujourd’hui mon temps s’écoule entre le travail bienfaiteur et les démarches administratives
    Mes passages au cimetière sont fréquents…trop peut-être mais je n’arrive pas à me détacher…
    c’est difficile de se projeter dans le temps
    Difficile de perdre cette entité qui formait ce NOUS que nous étions
    Difficile d’admettre les injustices passées

    J’ai aujourd’hui envie de lâcher ce que j’ai sur le cœur mais je sais que rien ne changera
    Rien ne le fera revenir…

    J’ai donc opté pour le silence et l’ignorance vis à vis de ma belle famille ….
    et ironie du sort là non plus ça ne va pas…
    mais pourquoi ?? Elle est devenue folle!

    Oui probablement… un grain de folie à germé dans la cicatrice indélébile qu’ils m’ont faite
    Trop de mal ne laisse pas les gens indemnes !

    Les seules choses qui me font tenir sont les fils et l’amour inconditionnel que je lui porte par delà la mort!

    • On pourrait « dire » que vous lire est réconfortant, que l’on ne se sent pas « seule », mais moi je vois, je ressens toutes vos souffrances qui sont le reflets des miennes… Mon conjoint est parti dans un accident de moto, j’étais là avec nos enfants de 15 et 19 ans (on suivait en voiture, mais dans ce virage, que s’est-il passé ? Personne n’a rien vu !). J’étais là pour qu’il m’entende, pour le réconforter, lui dire de tenir, de respirer, en attendant les secours. Je lui ai répété que l’on était là, moi et les enfants, puis je lui ai caressé la joue sans arrêt en lui répétant « je suis là mon coeur ». Il est finalement décédé dans l’hélicoptère qui le transportait ce 22 décembre 2018, à l’âge de 53 ans, ce soir si doux de pleine lune. Pour moi, il était ma moitié, et j’aimais à le présenter aux autres en ces termes. Ma moitié, mon moteur, mon battant après tant d’épreuves traversées avec succès dans des maladies à répétition. Moi aussi, j’ai perdu tout cela, plus de 34 ans avec lui, et encore aujourd’hui, je le pleure tous les jours, je le cherche au travers de « signes » (une chanson, une phrase, un nombre,…), j’en ai tant besoin, mais je sais, je sais… Mon entourage me dit très forte, mais on l’est pour les enfants avant tout, et surtout pour lui, pour qu’il soit fier, rassuré depuis là-haut où je le sais bien, libéré de tous les soucis, les jalousies, les méchancetés d’ici-bas, même de sa propre famille qui l’a laissé « tombé », abandonné par des jalousies mal placées, des mensonges. Pour moi aussi, que de mal, d’insultes en provenance de la propre mère ou des frères de mon conjoint ! et après son décès, ils ont continué. Ils n’ont pas compris qu’ils continuaient à lui faire du mal à lui au lieu de moi… Il n’y a même plus de mot dans le dictionnaire pour les qualifier. Aucun d’eux ne s’est soucié de moi et des enfants, pas un mot, pas un appel… (des coeurs de pierre !). A quoi bon essayer encore et encore de leur faire entendre raison, ils vivent dans leur monde d’égoïsme, égocentriques où tout est manipulé par une mère autoritaire, sans amour, sans cœur qui ne se soucie que d’elle-même, prête aux pires mensonges, trahisons, jalousies pour arriver à ses fins.
      Avec ma moitié, on avait tellement de choses encore à faire ensemble. Comme vous, tout s’arrête, et je ne vois pas de fin à cette souffrance, ce manque, cette absence. Je souris, car à quoi bon faire la tête devant les autres, et de toute façon ils ne comprendraient pas, et je sais combien il est difficile d’aider ou savoir comment faire pour aider quelqu’un dans le deuil, je ne les blâme pas, la plupart font ce qu’ils peuvent. Alors je reste dans le silence de mon coeur qui n’en finit pas de saigner. Comme beaucoup, je ne peux pas enlever ses affaires de toilettes de la salle de bain, ses vêtements dans l’armoire, son odeur qui me rassure, son dernier livre sur sa table de nuit, je ne peux même pas résilier son forfait téléphone,… Jusqu’au 08/08/2020, j’ai vécu, survécu, avec toutes ses affaires de moto récupérées après l’accident rangées dans les sacs au pied de mon lit. Le deuil n’est pas explicable, l’idée que l’on se fait de sa durée est une utopie. Mes enfants grandissent sans leur père, mon fils ne veut pratiquement jamais entrer au cimetière, ma fille ne croit pas en un monde meilleur, en l’au-delà. Moi, je suis croyante et cette force m’habite heureusement : chacun son « truc » ! Je ne sais pas où je vais, mais ce dont je suis persuadée c’est que tout est « écrit ». Mon avenir, je ne sais pas, j’ai peur, peur de cette solitude une fois que les enfants feront leur vie. Je pleure tous les jours que Dieu fait, je pense à lui du matin jusqu’au soir. Je vais moi aussi au cimetière presque tous les jours… J’aime à me rappeler les bons souvenirs, mais je ne peux m’empêcher de pleurer ! Les derniers mois avant sa mort, les choses se sont tellement accélérées : on a vu tant de monde, participer à tant de choses, il avait choisi et acheté lui-même des cadeaux de Noël « exceptionnels » aux enfants,… Ma moitié disait toujours et toujours « il faut se faire plaisir. Il faut profiter ! », comme s’il savait… Je l’aime et je l’aimerai toujours. Je compatie à votre douleur et vous souhaite du réconfort quel qu’il puisse être.

  • Bonsoir, cela fait deux ans et demi que tu es parti, tu me manque tout les jours, tu sais se n’ai pas facile , mais j’avance un pas après l’autre, je voudrais être comme toi positive, j’espère que j’arriverai à être apaiser, seigneur je vous en prie aidé moi et mes enfants merci

  • Le 1 juin 2020 mon épouse depuis 46 ans, est décédée, à 65 ans d’une pancréatite fulgurante en 4 jours, elle était en pleine forme et on lui a ôtée la vie, nous nous aimions tellement, depuis si longtemps, aujourd’hui je suis en situation de survie, cette douleur permanente et lancinante dans la poitrine me paralyse, je ne pensais pas que l’on pouvait tant aimer, je suis seul dans cette grande maison où elle est partout, je ne peux plus voir les gens, nos filles n’ont pu la voir dans ses derniers instants, puisque je vis à Tahiti, et qu’elles demeurent à Paris, les vols ne sont pas rétablis.
    Je n’ai plus la force de continuer sur cette terre, et je ne peux pas abandonner tout ce que nous avons construit ensemble, ce serait une trahison, je suis très croyant, et très fâché avec dieu qui a permis que cela arrive, je lui demande des explications que je n’aurais jamais, et ma colère ne faiblit pas, après le choc, la sidération, le déni, la culpabilité, je suis perdu. Je pensais être fort mentalement j’ai vécu des situations de guerre lorsque j’étais militaire, je pensais être insensible, alors que je pleure comme un enfant depuis son départ. Merci de m’avoir permis de m’exprimer et peut-être trouver de l’aide et du réconfort.

  • Mon Papa est parti voilà 12 ans maintenant, mais il est toujours il est présent. Je dirais même qu’il m’obsède, ces conseils me manquent, je manque d’assurance vis à vie de ca. J’ai 43 ans, mon père est décédé en Alsace et a été mis en terre en région parisienne. Je suis natif d’Alsace et ne veut pas y retourner, cela fait 5 ans que je suis sur Paris et je n’ai été le voir qu’une fois par an, je n’ai pas emmené ma fille de 8 ans et les enfants de ma chérie sur sa tombe, je ne sais pas comment interpréter cela.
    J’ai discuté avec une femme handicapé touché par la perte de son époux également d’un cancer, mais j’ai fait cela en bonne esprit, mais cela a déraper dans les échanges et j’ai du y mettre un terme.
    Je cherche une solution depuis des années à ce mal être, et je ne sais même pas si c’est un mal être !

  • Bonjour, sa va faire 3 ans que j’ai perdu mon conjoint, c’est une période que j’aime pas, c’est dur, il me manque, l’absence es lourd, c’est pas facile, bon courage

  • Je viens de perdre en l’espace de 3 semaines l’homme de ma vie, il est mort du covid. C’est moi qui l’ai contaminé je me sens coupable. Il m’apportait énormément point de vue lecture, exposition, cinéma… je suis complètement vidée, j’ai l’impression d’étouffer parfois, il sera irremplaçable. Je ne sais comment faire mon deuil.

  • Je m’appelle Mélissa j’ai 28 ans j’ai perdue ma tante en janvier 2015 j’ai énormément souffert de sa disparition j’adorais énormément ma tante elle était tout pour moi j’ai faillit tomber dans la dépression a cause du décès de ma tante cinq ans en 2001 mon grand père et décède d’un arrêt cardiaque et en 2019 j’ai perdue hélas mon oncle il perdez la mémoire il c’est éteint sans souffrir ma cousine a perdue sa maman a 4 ans d’un cancer généralisée ma deuxième tante et morte d’un cancer du foie

  • Le 20/07/22 mon fils, qui venait de fêter ses 41 ans, est mort. Je n’ai été avertie de ce décès que 6 jours après, lorsque la police est venue chez moi dans la nuit. Il a fallu que je porte plainte pour apprendre qu’il avait été hospitalisé de force dans un établissement de santé mentale, sous X, parce qu’il avait été agressé et volé de tous ses papiers, argent et portable, et qu’il vagabondait dans une gare de Haute-Savoie. Il a été retrouvé pendu. Non seulement je ne crois pas au suicide mais j’en veux à toutes les autorités de ne pas m’avoir contactée pour m’informer de sa situation et de son désespoir. Je n’ai pas pu le sauver, ni lui dire adieu, ni le serrer dans mes bras. Il est mort seul. Personne ne devrait jamais mourir seul. Cette mort violente me poursuivra toute ma vie et le sentiment de culpabilité que j’éprouve me rend amère. J’en veux à toute une ville et à tout un département qui n’ont pas voulu croire à l’identité de mon fils, lorsqu’il a tenté de le faire. Il est mort sous X et je suis arrivée à temps pour empêcher son inhumation au carré des indigents. Je me battrai jusqu’au bout pour laver sa mémoire et trouver les vrais responsables de cette mise en scène.
    Mon amour, je t’aimerai jusqu’à mon dernier souffle.

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